Forum tennis

https://www.lequipe.fr/Tennis/Article/A ... re/1467354

Tu pourrais copier cet article stoplait fafane ça m'intéresse de voir comme il gère sa maladie de Crohn avec sa carrière de tennisman?

lluis a écrit : ↑
mer. 15 mai 2024 10:12

Tu pourrais copier cet article stoplait fafane ça m'intéresse de voir comme il gère sa maladie de Crohn avec sa carrière de tennisman?

Très intéressant

Spoiler

Show

Alexandre Müller, atteint de la maladie de Crohn : « Je réfléchis avec mon ventre »
Atteint de la maladie de Crohn depuis l'adolescence, Alexandre Müller raconte comment il vit au quotidien avec cette pathologie, particulièrement handicapante pour un sportif de haut niveau.

Alexandre Müller n'est pas un joueur de tennis tout à fait comme les autres. Depuis plus de dix ans, le joueur français se bat en permanence contre deux adversaires : l'un se tient de l'autre côté du filet, l'autre se cache dans son ventre. Le Français (27 ans, 109e mondial), vainqueur d'Andrey Rublev lundi à Rome, souffre de la maladie de Crohn, une maladie inflammatoire chronique de l'intestin dont les symptômes (douleurs abdominales, diarrhées, nausées, vomissements, fatigue, amaigrissement) s'avèrent très handicapants pour un athlète de haut niveau. En décembre dernier, à l'Élite Tennis Center, sur les hauteurs de Cannes et sous un délicieux soleil du sud, Müller nous avait raconté son quotidien avec la maladie.

« Comment vit-on avec la maladie de Crohn quand on est joueur de tennis professionnel ?
Peu importe où je finirai ma carrière, j'aurais pu faire un peu mieux sans cette maladie. Je ne peux pas être à 100 % tout le temps, je suis plus fragile. Avant une séance de tennis ou de muscu, je réfléchis uniquement avec mon ventre : "Est-ce que je dois aller aux toilettes ?" C'est automatique, mon cerveau pense comme ça. Avant un match, je vais cinq, six fois aux toilettes minimum. Quand tu te vides et que tu perds deux ou trois kilos, tu pars avec un petit handicap d'énergie. Et quand, après trois heures de match, je ne peux pas boire plus de quatre gorgées d'eau sans avoir l'impression que je vais dégueuler sur le court, je le paye forcément.

Pourquoi ne pouvez-vous pas boire plus ?
J'ai des problèmes de digestion, j'ai des remontées. En fait, je ne sais pas ce que c'est de bien s'hydrater. Si je bois plus, j'ai le hoquet, comme si je venais de m'enfiler une bière, et je ne peux plus bouger. Après les matches, je suis totalement déshydraté. Quand je vais au contrôle antidopage, on me dit tout le temps : "Toi c'est pas de la pisse, c'est un concentré, tu n'as plus rien en toi." Niveau récupération, ce n'est pas idéal. Je suis parfois dans un sale état après un match, j'ai des contractures de partout.

« En vacances, j'ai toujours la maladie, je vais beaucoup plus aux toilettes que les autres, mais je vis bien. C'est le sport qui fait que c'est dur »

Pendant les matches, êtes-vous obligé d'aller régulièrement aux toilettes ?
Non, l'effort fait que ça ferme tout en moi et il n'y a aucun souci. Alors que cinq minutes avant d'entrer sur le court... Les échauffements d'avant-match, c'est un enfer pour mes entraîneurs. C'est le moment où je suis le plus anxieux. Parfois, je ne peux pas du tout m'échauffer. Je fais trois montées de genoux et je dis : "Désolé, il faut que j'y aille." Mais sur le court, j'oublie tout. C'est énormément dans la tête, cette maladie. En vacances, j'ai toujours la maladie, je vais beaucoup plus aux toilettes que les autres, mais je vis bien. C'est le sport qui fait que c'est dur.

Votre boulot et votre gagne-pain, donc...
Voilà (sourire). Je me dis souvent :"Qu'est-ce que j'ai hâte d'arrêter le tennis !" Pour certains, c'est arrêter de voyager. Moi, c'est arrêter de réfléchir avec mon ventre. Le jour où j'arrête, si j'ai mal au ventre, je m'en fous parce que je ne vais pas faire d'effort physique et ça n'aura plus d'impact sur ma performance. Les médecins n'ont pas tort sur le fait que le sport aggrave mon état de santé. Par moments, les symptômes ne sont pas beaux à voir. Déféquer du sang, c'est banal pour moi.

Vous a-t-on déconseillé le sport de haut niveau quand vous avez été diagnostiqué ?
À l'époque, le médecin m'a prévenu : "Arrête le sport, sinon tu seras en mauvaise santé." On me disait que j'allais vivre un enfer. J'étais à Aix, chez mes parents. Philippe Pech (entraîneur) de Boulouris (Var), où je m'entraînais, les avait appelés pour leur dire :"On ne va pas continuer avec votre fils. On ne peut pas risquer de prendre un jeune de treize ans malade." J'avais pris un coup de massue.

Pourquoi aviez-vous passé des examens ?
Lors d'un stage physique à Font-Romeu (Pyrénées-Orientales), je tombe malade. Ça passe, mais ça revient au bout d'une semaine. J'étais jeune et j'avais un peu honte de dire que j'allais tout le temps aux toilettes. Résultat, j'ai gardé l'inflammation pendant un an. À la fin, j'étais en crise. Je suis rentré un week-end chez mes parents et j'allais entre trente et trente-cinq fois aux toilettes par jour. Je ne dormais plus la nuit et j'étais maigre comme un fil. Clairement, c'était pas une gastro ! Mes parents m'ont poussé à faire des examens. J'ai passé une coloscopie et on m'a diagnostiqué une rectocolite hémorragique (RCH), pas la maladie de Crohn. C'est un peu différent.

« Si je ne prends pas mon traitement, je peux faire une crise. Et là, je vais à l'hôpital direct »

Le diagnostic a-t-il changé depuis ?
Tous les dix ans, il faut que je fasse une coloscopie. Je l'ai faite en 2022. Le médecin m'a dit : "Ce n'est pas une RCH, c'est la maladie de Crohn." Il a changé mon traitement : j'ai arrêté les granules et j'ai commencé les piqûres, un anti-inflammatoire spécialisé pour le colon. Je me pique toutes les deux semaines. Le souci, c'est que ce produit ne doit pas passer plus de huit heures en dehors du frais. Quand je vais en Australie, je ne le prends pas. Sinon c'est un enfer : il faut appeler la compagnie aérienne pour demander l'autorisation d'avoir une glacière et qu'ils le mettent au frigo pendant le voyage. Mais avec les escales, c'est injouable. Donc je préfère me piquer avant de partir. Au pire, si je dépasse de dix jours ou deux semaines... Je fais avec.

Que se passe-t-il si vous ne prenez pas votre traitement ?
Je peux faire une crise. Et là, je vais à l'hôpital direct. Je ne peux plus être à plus de trente centimètres de toilettes. Je ne peux plus rien faire. Ça m'est arrivé deux fois dans ma vie. À chaque fois : charges de cheval de cortisone pendant deux mois. La première fois, ce n'était pas idéal parce que la cortisone stoppe la croissance. Je n'ai plus grandi depuis. Là-dessus, j'ai des regrets. Si j'avais pu faire 1,85 m au lieu de 1,82 m, ça m'aurait arrangé.

« Là, si j'en prends (de la cortisone), je ne peux plus jouer pendant plusieurs semaines parce que c'est un produit dopant »

Avez-vous une autorisation d'usage à des fins thérapeutiques (AUT) pour la cortisone ?
C'est un enfer administratif donc je n'ai toujours pas fait la demande. Là, si j'en prends, je ne peux plus jouer pendant plusieurs semaines parce que c'est un produit dopant. Mais le plus ennuyeux, c'est que je n'ai pas le droit de prendre d'autres anti-inflammatoires parce que ça peut déclencher une crise. Après Roland-Garros (2023), je prenais des anti-inflammatoires pour soulager une pubalgie. On m'a dit : "Alex, vraiment, arrête." Donc quand j'ai mal, soit je joue avec la douleur, soit j'arrête.

Vivre avec cette maladie, cela forge-t-il un caractère à part ?
Oui, je pense que c'est grâce à ça que je suis un "matcheur" et que je me bats tous les jours. Parfois, je vois un mec qui lâche. J'ai envie de lui dire : "Mec, si je te donne mon bide, tu vas comprendre ce que c'est d'aller à l'entraînement en étant déjà allé quatre fois aux toilettes. Donc profite !" C'est peut-être ce qui fait que je suis quelqu'un d'ultra-calme. Même s'il y a pire, je sais que c'est un truc embêtant pour le sport de haut niveau. De temps en temps, je me dis que c'est quand même assez fort ce que je suis en train de faire. »

Thiem, Schwartzman, Wozniacki et Halep n'ont pas reçu de WC pourle grand tableau de RG...
L'absence de WC pour Thiem est scandaleuse : joueur hyper sympa, qui a atteint 2 fois la finale et qui a annoncé sa retraite.

Fafane666 a écrit : ↑
mer. 15 mai 2024 10:45

lluis a écrit : ↑
mer. 15 mai 2024 10:12

Tu pourrais copier cet article stoplait fafane ça m'intéresse de voir comme il gère sa maladie de Crohn avec sa carrière de tennisman?

Très intéressant

Spoiler
Show
Alexandre Müller, atteint de la maladie de Crohn : « Je réfléchis avec mon ventre »
Atteint de la maladie de Crohn depuis l'adolescence, Alexandre Müller raconte comment il vit au quotidien avec cette pathologie, particulièrement handicapante pour un sportif de haut niveau.

Alexandre Müller n'est pas un joueur de tennis tout à fait comme les autres. Depuis plus de dix ans, le joueur français se bat en permanence contre deux adversaires : l'un se tient de l'autre côté du filet, l'autre se cache dans son ventre. Le Français (27 ans, 109e mondial), vainqueur d'Andrey Rublev lundi à Rome, souffre de la maladie de Crohn, une maladie inflammatoire chronique de l'intestin dont les symptômes (douleurs abdominales, diarrhées, nausées, vomissements, fatigue, amaigrissement) s'avèrent très handicapants pour un athlète de haut niveau. En décembre dernier, à l'Élite Tennis Center, sur les hauteurs de Cannes et sous un délicieux soleil du sud, Müller nous avait raconté son quotidien avec la maladie.

« Comment vit-on avec la maladie de Crohn quand on est joueur de tennis professionnel ?
Peu importe où je finirai ma carrière, j'aurais pu faire un peu mieux sans cette maladie. Je ne peux pas être à 100 % tout le temps, je suis plus fragile. Avant une séance de tennis ou de muscu, je réfléchis uniquement avec mon ventre : "Est-ce que je dois aller aux toilettes ?" C'est automatique, mon cerveau pense comme ça. Avant un match, je vais cinq, six fois aux toilettes minimum. Quand tu te vides et que tu perds deux ou trois kilos, tu pars avec un petit handicap d'énergie. Et quand, après trois heures de match, je ne peux pas boire plus de quatre gorgées d'eau sans avoir l'impression que je vais dégueuler sur le court, je le paye forcément.

Pourquoi ne pouvez-vous pas boire plus ?
J'ai des problèmes de digestion, j'ai des remontées. En fait, je ne sais pas ce que c'est de bien s'hydrater. Si je bois plus, j'ai le hoquet, comme si je venais de m'enfiler une bière, et je ne peux plus bouger. Après les matches, je suis totalement déshydraté. Quand je vais au contrôle antidopage, on me dit tout le temps : "Toi c'est pas de la pisse, c'est un concentré, tu n'as plus rien en toi." Niveau récupération, ce n'est pas idéal. Je suis parfois dans un sale état après un match, j'ai des contractures de partout.

« En vacances, j'ai toujours la maladie, je vais beaucoup plus aux toilettes que les autres, mais je vis bien. C'est le sport qui fait que c'est dur »

Pendant les matches, êtes-vous obligé d'aller régulièrement aux toilettes ?
Non, l'effort fait que ça ferme tout en moi et il n'y a aucun souci. Alors que cinq minutes avant d'entrer sur le court... Les échauffements d'avant-match, c'est un enfer pour mes entraîneurs. C'est le moment où je suis le plus anxieux. Parfois, je ne peux pas du tout m'échauffer. Je fais trois montées de genoux et je dis : "Désolé, il faut que j'y aille." Mais sur le court, j'oublie tout. C'est énormément dans la tête, cette maladie. En vacances, j'ai toujours la maladie, je vais beaucoup plus aux toilettes que les autres, mais je vis bien. C'est le sport qui fait que c'est dur.

Votre boulot et votre gagne-pain, donc...
Voilà (sourire). Je me dis souvent :"Qu'est-ce que j'ai hâte d'arrêter le tennis !" Pour certains, c'est arrêter de voyager. Moi, c'est arrêter de réfléchir avec mon ventre. Le jour où j'arrête, si j'ai mal au ventre, je m'en fous parce que je ne vais pas faire d'effort physique et ça n'aura plus d'impact sur ma performance. Les médecins n'ont pas tort sur le fait que le sport aggrave mon état de santé. Par moments, les symptômes ne sont pas beaux à voir. Déféquer du sang, c'est banal pour moi.

Vous a-t-on déconseillé le sport de haut niveau quand vous avez été diagnostiqué ?
À l'époque, le médecin m'a prévenu : "Arrête le sport, sinon tu seras en mauvaise santé." On me disait que j'allais vivre un enfer. J'étais à Aix, chez mes parents. Philippe Pech (entraîneur) de Boulouris (Var), où je m'entraînais, les avait appelés pour leur dire :"On ne va pas continuer avec votre fils. On ne peut pas risquer de prendre un jeune de treize ans malade." J'avais pris un coup de massue.

Pourquoi aviez-vous passé des examens ?
Lors d'un stage physique à Font-Romeu (Pyrénées-Orientales), je tombe malade. Ça passe, mais ça revient au bout d'une semaine. J'étais jeune et j'avais un peu honte de dire que j'allais tout le temps aux toilettes. Résultat, j'ai gardé l'inflammation pendant un an. À la fin, j'étais en crise. Je suis rentré un week-end chez mes parents et j'allais entre trente et trente-cinq fois aux toilettes par jour. Je ne dormais plus la nuit et j'étais maigre comme un fil. Clairement, c'était pas une gastro ! Mes parents m'ont poussé à faire des examens. J'ai passé une coloscopie et on m'a diagnostiqué une rectocolite hémorragique (RCH), pas la maladie de Crohn. C'est un peu différent.

« Si je ne prends pas mon traitement, je peux faire une crise. Et là, je vais à l'hôpital direct »

Le diagnostic a-t-il changé depuis ?
Tous les dix ans, il faut que je fasse une coloscopie. Je l'ai faite en 2022. Le médecin m'a dit : "Ce n'est pas une RCH, c'est la maladie de Crohn." Il a changé mon traitement : j'ai arrêté les granules et j'ai commencé les piqûres, un anti-inflammatoire spécialisé pour le colon. Je me pique toutes les deux semaines. Le souci, c'est que ce produit ne doit pas passer plus de huit heures en dehors du frais. Quand je vais en Australie, je ne le prends pas. Sinon c'est un enfer : il faut appeler la compagnie aérienne pour demander l'autorisation d'avoir une glacière et qu'ils le mettent au frigo pendant le voyage. Mais avec les escales, c'est injouable. Donc je préfère me piquer avant de partir. Au pire, si je dépasse de dix jours ou deux semaines... Je fais avec.

Que se passe-t-il si vous ne prenez pas votre traitement ?
Je peux faire une crise. Et là, je vais à l'hôpital direct. Je ne peux plus être à plus de trente centimètres de toilettes. Je ne peux plus rien faire. Ça m'est arrivé deux fois dans ma vie. À chaque fois : charges de cheval de cortisone pendant deux mois. La première fois, ce n'était pas idéal parce que la cortisone stoppe la croissance. Je n'ai plus grandi depuis. Là-dessus, j'ai des regrets. Si j'avais pu faire 1,85 m au lieu de 1,82 m, ça m'aurait arrangé.

« Là, si j'en prends (de la cortisone), je ne peux plus jouer pendant plusieurs semaines parce que c'est un produit dopant »

Avez-vous une autorisation d'usage à des fins thérapeutiques (AUT) pour la cortisone ?
C'est un enfer administratif donc je n'ai toujours pas fait la demande. Là, si j'en prends, je ne peux plus jouer pendant plusieurs semaines parce que c'est un produit dopant. Mais le plus ennuyeux, c'est que je n'ai pas le droit de prendre d'autres anti-inflammatoires parce que ça peut déclencher une crise. Après Roland-Garros (2023), je prenais des anti-inflammatoires pour soulager une pubalgie. On m'a dit : "Alex, vraiment, arrête." Donc quand j'ai mal, soit je joue avec la douleur, soit j'arrête.

Vivre avec cette maladie, cela forge-t-il un caractère à part ?
Oui, je pense que c'est grâce à ça que je suis un "matcheur" et que je me bats tous les jours. Parfois, je vois un mec qui lâche. J'ai envie de lui dire : "Mec, si je te donne mon bide, tu vas comprendre ce que c'est d'aller à l'entraînement en étant déjà allé quatre fois aux toilettes. Donc profite !" C'est peut-être ce qui fait que je suis quelqu'un d'ultra-calme. Même s'il y a pire, je sais que c'est un truc embêtant pour le sport de haut niveau. De temps en temps, je me dis que c'est quand même assez fort ce que je suis en train de faire. »

Top merci beaucoup!!

goran a écrit : ↑
mer. 15 mai 2024 11:01
Thiem, Schwartzman, Wozniacki et Halep n'ont pas reçu de WC pourle grand tableau de RG...
L'absence de WC pour Thiem est scandaleuse : joueur hyper sympa, qui a atteint 2 fois la finale et qui a annoncé sa retraite.

Scandaleux pour Diego, Wozniacki et Halep je dirai
Car Thiem rentrera dans le grand tableau par le jeu des forfaits, ils ont dû tabler là dessus

Je n'aurais pris que Halep
Woz est revenue depuis un bout de temps, si elle n'a pas le niveau c'est son problème, Thiem pareil
Schwartzman c'est le cran en-dessous

Tu es dur pour Diego quand même
Pour Wozniacki, je te fais confiance je connais rien à la wta

Habas premier sur l'info
https://www.eurosport.fr/tennis/roland- ... tory.shtml

Y'a pas d'info
C'est le même lien en plus

Marko a écrit : ↑
mer. 15 mai 2024 12:01

goran a écrit : ↑
mer. 15 mai 2024 11:01
Thiem, Schwartzman, Wozniacki et Halep n'ont pas reçu de WC pourle grand tableau de RG...
L'absence de WC pour Thiem est scandaleuse : joueur hyper sympa, qui a atteint 2 fois la finale et qui a annoncé sa retraite.
Scandaleux pour Diego, Wozniacki et Halep je dirai
Car Thiem rentrera dans le grand tableau par le jeu des forfaits, ils ont dû tabler là dessus

Balec des autres y a que halep qui compte :risitas11:

Rumeur sur Djokovic à Genève avant RG..

Ca serait une bonne nouvelle :sampras:

Il veut faire une wawrinka

Une Djoko 2021

Fafane666 a écrit : ↑
jeu. 16 mai 2024 18:52
Rumeur sur Djokovic à Genève avant RG..

C'est fait.
Marko et danta :nad1:

J'ai dû me ruiner pour qu'il accepte la WC :del11:

Tiens, je ne savais pas qu'il y avait un deuxième toit à Roland, le Lenglen est maintenant équipé !

Chatrier le dimanche, Lenglen le lundi, j'ai blindé le séjour

Reprise de l'entrainement pour Sinner

Noah capitaine de l'équipe Europe de Laver Cup en 2025.

Encore un inconnu qui jouait avec des raquettes en bois

dantaface a écrit : ↑
mer. 29 mai 2024 11:25
Encore un inconnu qui jouait avec des raquettes en bois

Et pieds nus :capelo:

"L'alcool c'est terminé en tribunes"

Fed4 en pls
https://www.lequipe.fr/Tennis/Actualite ... ut/1471116

Tu peux te bourrer dans les allées, c'est pareil
Perso j'ai pas souvenir d'avoir vu des gens s'enfiler des bières en tribunes mais je peux me tromper

Les glaces m ont toujours attire de quand j allais à rg mais j en ai jamais achete trop cher pas envie de participer au pigeonnage des tennix touristes français

Toute la bouffe est devenue hors de prix et pas terrible
Dans le temps on pouvait se prendre une saucisse frites près du court °1, l'ex central bis , pour un prix abordable

Pourtant l'image du parigo bobo que j'avais, c'était pas celle du beauf

Demande à tes gosses s'ils veulent du tofu ou des frites..

Tant que ça existait je craquais toujours pour une glace à l'italienne. Maintenant il n'y a plus que des ben n jerry's sans charisme

J’ai compris qu’ils allaient interdire l’alcool partout

Forum tennis

ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news

Re: ATP news