Rafael Nadal

[Fafane666]

Post à 6-2 7-6 2-2

ça a plus de valeur que les glands qui refont le match avec des stats

C'est bizarre, paradoxalement je trouve le russe plus prenable que je ne le pensais
Nadal avait finalement une bonne occase

[$lenox$]

Yep je me souviens.

[LudoPSG]

« Le match est loin d’être fini »

Juste après le tie-break

[Jérémie]

Med s'est sabordé en ratant des points tout faits. Ça passe pas face à Nadal toujours en embuscade qui va toujours essayer.
Après comme je l'ai écrit hier les mecs qui donnaient 4 % de chance de gain à Nadal devraient changer de métier.

[Air]

ça mérite le goulag

[Albator31]

Med s'est sabordé en ratant des points tout faits. Ça passe pas face à Nadal toujours en embuscade qui va toujours essayer.
Après comme je l'ai écrit hier les mecs qui donnaient 4 % de chance de gain à Nadal devraient changer de métier.

C'est qui ?
C'était sûrement une stat bidon, pas les sites de paris.
Moi j'aurais dit plutôt 15-20%.

[lluis]

Ca rend le titre de Nadal encore plus savoureux mais quel stress cette finale!!

[Fafane666]

Perso je n'ai été stressé qu'au 5ème, alors que je m'étais fait une raison avant..

[lluis]

Oui je parlais aussi du 5eme et en particulier apres le debreak. Le second aussi je me disais si il le gagne y'a moyen du coup coup de stress aussi.

Apres jy croyais plus.

[Jérémie]

ça mérite le goulag

Un très mauvais revers sur une de ces balles.

[Fafane666]

[lluis]

https://www.lequipe.fr/Tennis/Article/R ... ne/1314355

Cet article m'intéresse, cher Fafane aurais tu la possibilité de le mettre?

[Alexis]

https://www.lequipe.fr/Tennis/Article/R ... ne/1314355

Cet article m'intéresse, cher Fafane aurais tu la possibilité de le mettre?

il dit qu'il est toujours motivé, qu'il veut gagner RG, et que le ciel est sa limite

[LudoPSG]

Désolé c’est la galère
Impossible de copier tout l’article d’un coup, il faut faire paragraphe par paragraphe, trop compliqué

[Fafane666]

https://www.lequipe.fr/Tennis/Article/R ... ne/1314355

Cet article m'intéresse, cher Fafane aurais tu la possibilité de le mettre?

Spoiler

Show

La nuit a été courte, pour les suiveurs - à peine trois heures de sommeil - comme pour Rafael Nadal, qui ne se rappelait pas, lundi dans la matinée, avoir fermé l'oeil. Comme le veut la tradition, le vainqueur de l'Open d'Australie avait rendez-vous dans les jardins de la résidence officielle du gouverneur de Victoria, à Melbourne, pour boucler une tournée médiatique entamée au milieu de la nuit. Après avoir posé avec son trophée, en jean, baskets et tee-shirt noir frappé d'un logo imaginé par son équipementier où se mêlent les lettres Rafa et le nombre 21, le héros majorquin (35 ans) s'est posé sur une chaise de jardin, à l'ombre, pour dénouer le fil de son invraisemblable exploit.

« À quoi pensiez-vous en novembre dernier ? Pouviez-vous imaginer vous retrouver à Melbourne, deux mois plus tard, avec le trophée ?
Non, absolument pas ! À quoi je pensais ? Je pensais que cela allait être difficile de rejouer. Parce qu'à ce moment-là, c'était une réalité. Parce que l'on était en train de travailler depuis un petit moment sans voir d'évolution positive sur le pied. Il y avait beaucoup de frustration, de moments compliqués avec l'équipe, de conversations avec ma famille, sur la voie à suivre. Et puis, petit à petit, les choses se sont améliorées. Les traitements ont commencé à faire un peu leur effet. Même si je savais qu'il n'y avait pas de solution définitive, au moins je pouvais essayer de chercher un moyen qui me permette de jouer. Et ces trois semaines écoulées pour moi sont simplement incroyables.

Dans cette période-là, quels sentiments aviez-vous ? De la peur, de la frustration, de la peine ?
Un peu plus que de la peur ou de la frustration. J'aime ce que je fais. Le tennis est une passion. Je n'ai jamais eu peur de devoir m'arrêter. J'ai une vie suffisamment heureuse à côté du tennis pour ne pas m'inquiéter quand cela arrivera. Mais j'ai toujours eu l'espoir de continuer, cette force m'a poussé, j'ai toujours essayé d'entretenir cette illusion, celle de continuer, de se sentir à nouveau joueur, à nouveau professionnel, à nouveau compétitif. Bien sûr, gagner ce tournoi est incroyable, mais au-delà, me sentir à nouveau compétitif, à nouveau comme un jouer de tennis professionnel, capable de s'entraîner, de jouer contre les meilleurs, est une sensation aussi intense que de gagner le titre.

Vous n'avez donc jamais pensé à vous retirer, même dans les pires moments de difficulté ou de doute ?
Non, je n'y ai pas pensé. Parce que tu ne veux pas penser à cela, quand tu ne le veux pas. Mais bon... Il y a eu des questionnements, mais il y avait toujours en avant la possibilité de rejouer et de tenter de revenir sur le terrain en étant compétitif.

À quel moment avez-vous senti que cela était possible ?
Après l'opération (le 11 septembre), les choses ne sont pas allées aussi vite que je l'espérais. C'est seulement deux mois quasiment plus tard que j'ai senti que cela s'améliorait et j'ai commencé à voir un peu la lumière. J'ai fait un petit pas en avant, j'ai commencé à pouvoir m'entraîner un peu plus. Je combinais des jours corrects et des jours mauvais, mais je commençais à pouvoir entrevoir un bon jour (sourire). Ensuite, décider que je pouvais aller jouer à Abu Dhabi (tournoi exhibition à la mi-décembre), pour moi, signifiait beaucoup. Puis, il y a eu le virus (test positif au Covid), qui a été encore une étape supplémentaire à passer. Mais au moins, être capable de m'entraîner et de jouer à Abu Dhabi a été très important pour moi.


Comment ont été vos sensations lors de vos premiers entraînements de reprise après votre opération ?
Elles étaient bonnes. C'est la vérité ! À Majorque, je ne pouvais pas beaucoup bouger sur le terrain au début, mais les sensations de pouvoir toucher la balle étaient bonnes. Je me sentais bien. Le peu que je pouvais faire de temps d'entraînement, ça se passait bien. C'était presque le plus dur à gérer. Tennistiquement parlant, c'était même un peu surprenant, j'étais étonnamment bien. Mais je ne pouvais pas réaliser certains types de mouvements, la répétition de courses. Quand je suis arrivé ici, d'ailleurs, je m'entraînais bien mieux que je ne jouais en compétition, même si j'ai gagné un tournoi (Melbourne, ATP 250). Les sensations à l'entraînement ont continué d'être très bonnes. J'ai tapé avec pas mal de bons joueurs, les meilleurs du monde, et j'étais très compétitif avec tout le monde ! C'était très surprenant (sourire). Ça montrait, d'une certaine manière, que je n'avais pas oublié comment on jouait au tennis et que je pouvais de nouveau être compétitif.

Vous avez eu beaucoup de discussions avec votre équipe, votre famille durant ces mois compliqués. Quelle en était la teneur ?
Rien de particulier au final. Des discussions entre proches, entre amis. C'était important d'échanger, d'avoir le ressenti de mes proches sur la situation, de ne pas être seul à ce moment-là. Il y a eu des moments de doute, des jours où il fallait prendre des décisions. C'était une situation spéciale, parce qu'entre ces doutes, on a entretenu la motivation, l'espoir de trouver une solution. C'était bien de parler, de faire sortir un peu les choses que j'avais en moi.

Quand on met côte à côte la photo avec vos béquilles le 11 septembre et celle avec le trophée le 30 janvier, le chemin parcouru est assez saisissant, non ?
La vérité, c'est que la comparaison de ces deux photos ne me paraît pas aussi spectaculaire que tout ce qui s'est réellement passé entre ces deux moments ! Derrière cette photo, il y a des jours de béquilles après la sortie de la clinique, des jours de démarche boiteuse, et c'est ce qui rend la chose vraiment incroyable.

À quoi pensez-vous au moment de la balle de match face à Daniil Medvedev ?
À quoi je pense ? À gagner ce point ! Je venais de laisser passer l'occasion à 5-4, 30-0. Je suis sur le terrain depuis plus de cinq heures. Je pense simplement à rester concentré. Ne pas se tromper, jouer agressif. Prendre la bonne décision. Ce point finalement est dans le processus de mes derniers mois : retrouver les automatismes, prendre la décision rapidement. Quand tu as passé des mois sans compétition, toutes ces choses que tu fais d'habitude de manière presque naturelle, là elles ne reviennent pas automatiquement. Il faut passer des heures sur le court, retrouver la compétition, la capacité d'analyser les choses rapidement et prendre les décisions adéquates. Savoir comment tu veux jouer le point, de manière certaine.


Que deviendra le tennis, selon vous, une fois que le Big 3 ne sera plus sur les courts ?
Ce sera comme ça a toujours été : le tennis continuera. Il n'est pas un seul joueur qui soit plus important que son sport. Ni Federer, ni Djokovic, ni moi, mais aussi ni Borg, ni McEnroe, ni personne. Chaque année, il y a quatre champions de Grand Chelem, neuf de Masters 1000. Ça continuera toujours ainsi. Bien sûr on vit une époque très spéciale, ce dont on se rend compte aisément en analysant nos statistiques à tous les trois, tant sur le plan de la régularité que sur celui de la longévité, mais je suis persuadé que le tennis sera entre de bonnes mains, même après nous. Il y aura bien d'autres champions, ne vous inquiétez pas.

On a vu d'innombrables messages de félicitations, sur les réseaux sociaux, en provenance de sportifs de tous les pays, et de toutes les disciplines, comment l'expliquez-vous ?
Je dirais que ce que j'ai accompli était quand même assez inimaginable. Ni moi ni les membres de mon équipe, qui pourtant me portent une grande confiance (rire), et vous pourrez leur poser la question, même en étant le plus optimiste du monde, n'aurions pu nous projeter sur ce dénouement


21 titres du Grand Chelem, ça signifie quoi pour vous ?
Ça signifie un de plus qu'avant le tournoi. Mais on n'en a pas terminé. Et on n'est pas sûr que 21 soit suffisant, au final, pour terminer avec le plus grand nombre de titres dans l'histoire. Mais comme je le dis depuis dimanche soir, ce titre, de la manière dont je l'ai décroché, restera inoubliable. Et j'ai envie de poursuivre mon chemin, continuer à jouer au tennis, si on veut bien me laisser faire (sourire). J'ai envie de jouer d'autres tournois et j'espère que je pourrai avoir une bonne préparation pour la saison de terre battue.

Revenir de ce problème au pied gauche sur lequel vous avez subi une intervention en septembre, est-ce que cela a été le plus difficile de vos retours sur le circuit ?
Je ne sais pas. Revenir et gagner cet Open d'Australie, oui, si on remet tout en perspective, on peut le dire alors. Cinq mois sans compétition, peu de préparation, trente-cinq ans et demi... ça fait beaucoup de facteurs qui confèrent à cette victoire le qualificatif de plus surprenante et plus inattendue de toutes.


Daniil Medvedev avait l'air marqué après la finale, au cours d'une conférence de presse où il s'est retourné sur l'enfant qu'il était et qui rêvait de tennis, laissant planer une sorte de doute sur la suite qu'il allait donner à sa carrière... Comme si vous "détruisiez" mentalement les adversaires.
Oui, j'ai vu ça. Disons que pour une génération, ça a été difficile, parce qu'ils ont moins gagné qu'ils n'auraient dû, ou pu, parce qu'on a été trois (avec Federer et Djokovic) à s'accaparer beaucoup des grands titres, mais le temps passe, on a 34, 35 et 40 ans. Ils savent que c'est une question de temps. Que ça va se libérer. Mais je crois que les gens se trompent sur l'image de Daniil, peut-être à cause de certains comportements qu'il a pu avoir sur le court. Mais je le dis avec le coeur, dans le vestiaire, en tête à tête, c'est une personne très aimable, attentionnée, quelqu'un de tranquille avec qui je m'entends facilement. Je le respecte beaucoup, c'est un grand champion et je crois qu'il a la capacité à changer les choses, quand elles vont mal. C'est important, la faculté d'adaptation. Je pense que tout ce qu'il a pu dire en conférence de presse, dimanche soir, c'était juste sur le moment. Il est suffisamment intelligent pour ajuster ce qu'il y aura à ajuster. Je lui souhaite le meilleur et je suis certain qu'il vivra d'excellents moments sur le court à l'avenir. »

[dantaface]

Merci poto fafane j ai tout lu interview tres intéressante sans langue de bois c est toujours tres instructif et un exemple pour les jeunes generations

[lluis]

Parfait Merci

[Jérémie]

Le mot sur Medvedev et les "propos tenus juste sur le moment" est bien sûr très juste.

[mistral gagnant]

Nadal, si exemplaire sur un court depuis toutes ces années, j'ai un peu de mal à croire qu'il puisse excuser Medvedev sur son comportement exécrable, à l'image de Tsitsipas, Zverev, sans parler du fou furieux serbe

[LudoPSG]

[Fafane666]

Cry baby

[LudoPSG]

Peu importe ce que tu écris ici

Tu connais beaucoup trop le sport pour ne pas le savoir au fond de toi

[lluis]

ca parle de quoi?
vidéo non disponible pour moi

[Fafane666]

Peu importe ce que tu écris ici

Tu connais beaucoup trop le sport pour ne pas le savoir au fond de toi

Les anti Nadal c'est comme les antivax, je ne discute pas avec eux, ça leur donne de l'importance, un peu comme si leur opinion avait la moindre valeur.
Je les insulte à l'occasion, pour l'hygiène.

[Albator31]

Oui, Nadal et le vaccin ont tous les deux sauvé le monde d'une plaie maléfique.

[dantaface]

oui ludo federer est chargé comme jamais

[LudoPSG]

Peu importe ce que tu écris ici

Tu connais beaucoup trop le sport pour ne pas le savoir au fond de toi

Les anti Nadal c'est comme les antivax, je ne discute pas avec eux, ça leur donne de l'importance, un peu comme si leur opinion avait la moindre valeur.
Je les insulte à l'occasion, pour l'hygiène.

Merci de confirmer

[Boudin]

Peu importe ce que tu écris ici

Tu connais beaucoup trop le sport pour ne pas le savoir au fond de toi

Je déguste tes larmes mais Nadal 15km de trail/jour sur le dénivelé caillouteux de Majorque depuis son plus jeune âge = caisse cardio pulmonaire de titan = aspirateur nucléaire à lactate et faculté de récupération niveau triathlete ultra.

Si ce genre de perf venait d’un ex asthmatique déficient respiratoire cœliaque des pays de l’Est je comprendrais tes réserves, wait….

[Fafane666]

Laisse tomber boudino, le mec traite Nadal de singe toute l'année, et vient faire sa mijaurée après..

[$lenox$]

La cocaïne c'est grave de la merde. J'ai essayé 2 fois, je me suis même demande si on m'avait pas fait sniffer de la farine