Rugby.
- dantaface
- Commissaire psychologique
- Messages : 30853
- Enregistré le : lun. 25 mars 2019 01:25
- A liké : 7735 fois
- A été liké : 4308 fois
Re: rugby.
Ok merci
La delegation olympique de ton pays a t elle des chances de medailles stp
La delegation olympique de ton pays a t elle des chances de medailles stp

La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
Suntem alături de tine, Simona
Suntem alături de tine, Simona

- Air
- Vent d'Est de passage
- Messages : 6843
- Enregistré le : dim. 24 mars 2019 22:33
- A liké : 988 fois
- A été liké : 948 fois
Re: rugby.
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites ... ip/1490362
Soutien total aux néo zélandais victimes du racisme.
Soutien total aux néo zélandais victimes du racisme.

- habas
- Chauffard de sol
- Messages : 17166
- Enregistré le : lun. 25 mars 2019 11:02
- A liké : 268 fois
- A été liké : 533 fois
Re: rugby.
les deux joueurs français détenus en argentine remis en liberté, il n'y a pas assez de preuves pour les maintenir en détention, mais ils doivent rester en argentine pendant le temps de l'instruction.
ils doivent se sentir mieux.
ils doivent se sentir mieux.
Le TC aux oubliettes. merci
- $lenox$
- $chofeur de sale$
- Messages : 9947
- Enregistré le : dim. 24 mars 2019 21:53
- A liké : 1353 fois
- A été liké : 2018 fois
Re: rugby.
Vont il être réintégrés?
"ont été établies «de franches contradictions internes et périphériques par rapport au récit de la plaignante». «Ne peut être ignorée, poursuit le parquet, l’existence de contradictions notoires, d’incohérences, de zones grises et même d’explications insuffisantes concernant les circonstances factuelles diverses», sur la base des dépositions de la plaignante et des éléments recueillis."

"ont été établies «de franches contradictions internes et périphériques par rapport au récit de la plaignante». «Ne peut être ignorée, poursuit le parquet, l’existence de contradictions notoires, d’incohérences, de zones grises et même d’explications insuffisantes concernant les circonstances factuelles diverses», sur la base des dépositions de la plaignante et des éléments recueillis."
- Fafane666
- Messages : 35402
- Enregistré le : jeu. 13 juin 2019 15:46
- A liké : 1117 fois
- A été liké : 3053 fois
Re: rugby.
Contradictions, images vidéo : ce que dit le rapport des procureurs qui a mené à la libération d'Oscar Jegou et Hugo Auradou
Placés en résidence surveillée depuis le 17 juillet à Mendoza, Hugo Auradou et Oscar Jegou ont recouvré la liberté lundi mais doivent rester en Argentine dans l'attente de la fin de l'enquête. « L'Équipe » a pu prendre connaissance du rapport des procureurs qui relèvent de nombreuses contradictions dans le témoignage de la plaignante.
Placés en résidence surveillée depuis le 17 juillet à Mendoza, Hugo Auradou et Oscar Jegou ont recouvré la liberté lundi mais doivent rester en Argentine dans l'attente de la fin de l'enquête. « L'Équipe » a pu prendre connaissance du rapport des procureurs qui relèvent de nombreuses contradictions dans le témoignage de la plaignante.
Spoiler
Show
La nouvelle est tombée à 13 h 56, heure locale (18 h 56 en France). Le parquet de Mendoza, après avoir sollicité l'avis de toute la hiérarchie des procureurs, de Dario Nora, chargé de l'enquête, à Gonzalo Nazar, le procureur adjoint, a décidé de remettre Hugo Auradou et Oscar Jegou en liberté.
Les deux joueurs français restent toutefois mis en cause dans l'affaire et ne pourront pas quitter l'Argentine pour le moment. L'instruction se poursuit donc, même si tout indique que sa fin pourrait survenir dans les prochaines semaines. Il manquerait notamment une expertise psychologique de la plaignante - laquelle devrait avoir lieu ce mardi - ainsi que les conclusions de celle passée par les deux joueurs. L'enquête n'étant pas achevée, il n'était pas envisageable d'abandonner les poursuites à ce stade. Il n'en reste pas moins que la décision du parquet marque une avancée considérable allant dans le sens des deux mis en examen pour un viol en réunion présumé dans la nuit du 6 au 7 juillet, à l'hôtel Diplomatic de Mendoza, où résidait l'équipe de France en tournée en Argentine.
Selon un expert médical, ni coup de poing ni strangulation
L'Équipe a pu consulter le rapport des procureurs Gonzalo Nazar et Orieta Daniela Chaler, procureure en chef de l'Unité de poursuite des délits contre l'intégrité sexuelle. En date du 9 août, il expose sur onze pages l'argumentaire du parquet le conduisant à prononcer une remise en liberté. « Après avoir examiné la présente procédure, j'estime qu'il n'existe pas à ce jour d'éléments de conviction suffisants pour autoriser une demande de placement en détention provisoire des accusés, est-il indiqué, précisant qu'à ce stade le risque d'entrave de l'enquête ou de fugue semble écarté. (...) La première caractéristique que devrait avoir un témoignage solide n'est pas présente en l'espèce. » La procureure Chaler précise qu'elle a assisté personnellement aux auditions de la plaignante, le 6 août, et des deux joueurs, le 8.
L'avis rendu par les procureurs se base d'abord sur « les contradictions internes au sein du récit lui-même et celles qui ressortent d'une comparaison » entre la version lors du dépôt de plainte, le 7 juillet, et celle de l'audition de la plaignante, un mois plus tard.
Dans un second temps, les procureurs analysent « les divergences avec le reste des preuves produites à ce jour (...), telles que les rapports du corps médico-légiste, les images de la boîte de nuit et de l'hôtel... ». Le 7 juillet, la plaignante a déclaré que le « brun » (Auradou) l'avait « étouffée », « étranglée », qu'elle avait « reçu des coups de poing », dont un à l'oeil gauche. La procureure Chaler écrit : « Bien qu'une ecchymose violacée de 4 cm x 1 cm ait été constatée à l'oeil gauche, le docteur Sonego a expliqué dans son témoignage que cette blessure aurait pu être produite par un frottement, excluant aussi bien une gifle qu'un coup de poing, puisque ce dernier, impliquant une plus grande force, aurait provoqué une ecchymose sur la paupière supérieure et une réaction conjonctivale, signes qui n'ont pas été retrouvés chez la plaignante. » Concernant un acte de strangulation, la procureure indique « qu'aucune blessure typique d'une telle manoeuvre n'a été constatée sur son corps, les lésions trouvées dans les zones sous le menton et supraclaviculaire ne correspondaient pas à cela ».
La plaignante, poursuivent les procureurs, avait également indiqué avoir été mordue à plusieurs endroits, mais, écrivent-ils, « le docteur Sonego a déclaré n'avoir rien trouvé qui lui permette de penser que les blessures constatées auraient pu être causées par une empreinte dentaire ».
Des images vidéo qui n'accréditent pas la thèse de « l'état de choc »
La plaignante a déclaré qu'elle avait perçu un changement dans les intentions d'Hugo Auradou quand celui-ci a baissé son pantalon dans le couloir de l'hôtel. Mais la procureure considère que la plaignante aurait pu s'en aller quand Auradou est redescendu à la réception chercher une nouvelle carte magnétique. Et que le message qu'elle laisse à son amie dans ce laps de temps précis - « Je suis partie avec un rugbyman étranger, je suis dans son hôtel, alors ne compte pas sur moi, d'accord ? » - est « incompatible avec une personne qui ressent de la peur ou de l'effroi ».
La procureure relève par ailleurs que la plaignante a affirmé que le « blond » (Oscar Jegou) était arrivé dans la chambre 603 près d'une heure après eux « alors qu'il y est entré seulement six minutes plus tard. » La magistrate poursuit : « La plaignante a déclaré qu'elle n'était jamais laissée seule dans la chambre et qu'elle ne pouvait donc pas "s'échapper", en faisant référence à un moment où elle est allée uriner dans la salle de bains de la chambre et qu'Auradou y est entré pour se doucher. Si elle avait eu l'intention de s'enfuir, n'était-ce pas le bon moment pour le faire si la porte de la salle de bains se trouve à côté de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel et que Jegou était endormi à ce moment-là ? (...) Elle a également indiqué qu'elle avait quitté la chambre en état de choc en raison de ce qu'elle avait vécu, mais, sur la séquence vidéo, on la voit quitter la chambre à 8 h 26 et 7 secondes en souriant, en regardant la caméra de sécurité, en corrigeant sa coiffure (elle était entrée dans la pièce avec les cheveux lâchés et en est sortie avec les cheveux peignés, qu'elle a ensuite réarrangés en attendant l'ascenseur). Elle entre dans l'ascenseur et continue de sourire (...) puis elle croise d'autres personnes, en échangeant des gestes et des mots avec elles. D'après les gestes, observables via les caméras, elle n'est pas perçue comme une personne choquée ou traumatisée qui "s'échappe" de la chambre. »
Viennent ensuite les appréciations données aux nombreux messages audio échangés entre la plaignante et son amie présente avec elle ce soir-là en boîte de nuit. La procureure ne voit pas « de corrélation entre les événements rapportés et la conversation qu'elle a eue avec son amie. Il n'est pas compréhensible que si elle a subi une attaque de l'ampleur de celle qu'elle a mentionnée, elle commence sa conversation en remerciant son amie d'avoir "fait l'effort" en emmenant sa fille chez elle afin qu'elle puisse sortir danser ».
Pour les procureurs, la plaignante aurait « resignifié les faits, après les avoir partagés avec ses amies qui n'étaient pas au courant de toute la séquence ». S'attardant sur un message vocal envoyé à la plaignante par son amie à 17 h 58 - « Ce qui est bien, c'est que tu as passé un bon moment » -, les procureurs en déduisent que « les accusés ont pu également interpréter que Mme X était d'accord pour avoir des relations sexuelles et qu'elle passait un bon moment ».
Les deux joueurs français restent toutefois mis en cause dans l'affaire et ne pourront pas quitter l'Argentine pour le moment. L'instruction se poursuit donc, même si tout indique que sa fin pourrait survenir dans les prochaines semaines. Il manquerait notamment une expertise psychologique de la plaignante - laquelle devrait avoir lieu ce mardi - ainsi que les conclusions de celle passée par les deux joueurs. L'enquête n'étant pas achevée, il n'était pas envisageable d'abandonner les poursuites à ce stade. Il n'en reste pas moins que la décision du parquet marque une avancée considérable allant dans le sens des deux mis en examen pour un viol en réunion présumé dans la nuit du 6 au 7 juillet, à l'hôtel Diplomatic de Mendoza, où résidait l'équipe de France en tournée en Argentine.
Selon un expert médical, ni coup de poing ni strangulation
L'Équipe a pu consulter le rapport des procureurs Gonzalo Nazar et Orieta Daniela Chaler, procureure en chef de l'Unité de poursuite des délits contre l'intégrité sexuelle. En date du 9 août, il expose sur onze pages l'argumentaire du parquet le conduisant à prononcer une remise en liberté. « Après avoir examiné la présente procédure, j'estime qu'il n'existe pas à ce jour d'éléments de conviction suffisants pour autoriser une demande de placement en détention provisoire des accusés, est-il indiqué, précisant qu'à ce stade le risque d'entrave de l'enquête ou de fugue semble écarté. (...) La première caractéristique que devrait avoir un témoignage solide n'est pas présente en l'espèce. » La procureure Chaler précise qu'elle a assisté personnellement aux auditions de la plaignante, le 6 août, et des deux joueurs, le 8.
L'avis rendu par les procureurs se base d'abord sur « les contradictions internes au sein du récit lui-même et celles qui ressortent d'une comparaison » entre la version lors du dépôt de plainte, le 7 juillet, et celle de l'audition de la plaignante, un mois plus tard.
Dans un second temps, les procureurs analysent « les divergences avec le reste des preuves produites à ce jour (...), telles que les rapports du corps médico-légiste, les images de la boîte de nuit et de l'hôtel... ». Le 7 juillet, la plaignante a déclaré que le « brun » (Auradou) l'avait « étouffée », « étranglée », qu'elle avait « reçu des coups de poing », dont un à l'oeil gauche. La procureure Chaler écrit : « Bien qu'une ecchymose violacée de 4 cm x 1 cm ait été constatée à l'oeil gauche, le docteur Sonego a expliqué dans son témoignage que cette blessure aurait pu être produite par un frottement, excluant aussi bien une gifle qu'un coup de poing, puisque ce dernier, impliquant une plus grande force, aurait provoqué une ecchymose sur la paupière supérieure et une réaction conjonctivale, signes qui n'ont pas été retrouvés chez la plaignante. » Concernant un acte de strangulation, la procureure indique « qu'aucune blessure typique d'une telle manoeuvre n'a été constatée sur son corps, les lésions trouvées dans les zones sous le menton et supraclaviculaire ne correspondaient pas à cela ».
La plaignante, poursuivent les procureurs, avait également indiqué avoir été mordue à plusieurs endroits, mais, écrivent-ils, « le docteur Sonego a déclaré n'avoir rien trouvé qui lui permette de penser que les blessures constatées auraient pu être causées par une empreinte dentaire ».
Des images vidéo qui n'accréditent pas la thèse de « l'état de choc »
La plaignante a déclaré qu'elle avait perçu un changement dans les intentions d'Hugo Auradou quand celui-ci a baissé son pantalon dans le couloir de l'hôtel. Mais la procureure considère que la plaignante aurait pu s'en aller quand Auradou est redescendu à la réception chercher une nouvelle carte magnétique. Et que le message qu'elle laisse à son amie dans ce laps de temps précis - « Je suis partie avec un rugbyman étranger, je suis dans son hôtel, alors ne compte pas sur moi, d'accord ? » - est « incompatible avec une personne qui ressent de la peur ou de l'effroi ».
La procureure relève par ailleurs que la plaignante a affirmé que le « blond » (Oscar Jegou) était arrivé dans la chambre 603 près d'une heure après eux « alors qu'il y est entré seulement six minutes plus tard. » La magistrate poursuit : « La plaignante a déclaré qu'elle n'était jamais laissée seule dans la chambre et qu'elle ne pouvait donc pas "s'échapper", en faisant référence à un moment où elle est allée uriner dans la salle de bains de la chambre et qu'Auradou y est entré pour se doucher. Si elle avait eu l'intention de s'enfuir, n'était-ce pas le bon moment pour le faire si la porte de la salle de bains se trouve à côté de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel et que Jegou était endormi à ce moment-là ? (...) Elle a également indiqué qu'elle avait quitté la chambre en état de choc en raison de ce qu'elle avait vécu, mais, sur la séquence vidéo, on la voit quitter la chambre à 8 h 26 et 7 secondes en souriant, en regardant la caméra de sécurité, en corrigeant sa coiffure (elle était entrée dans la pièce avec les cheveux lâchés et en est sortie avec les cheveux peignés, qu'elle a ensuite réarrangés en attendant l'ascenseur). Elle entre dans l'ascenseur et continue de sourire (...) puis elle croise d'autres personnes, en échangeant des gestes et des mots avec elles. D'après les gestes, observables via les caméras, elle n'est pas perçue comme une personne choquée ou traumatisée qui "s'échappe" de la chambre. »
Viennent ensuite les appréciations données aux nombreux messages audio échangés entre la plaignante et son amie présente avec elle ce soir-là en boîte de nuit. La procureure ne voit pas « de corrélation entre les événements rapportés et la conversation qu'elle a eue avec son amie. Il n'est pas compréhensible que si elle a subi une attaque de l'ampleur de celle qu'elle a mentionnée, elle commence sa conversation en remerciant son amie d'avoir "fait l'effort" en emmenant sa fille chez elle afin qu'elle puisse sortir danser ».
Pour les procureurs, la plaignante aurait « resignifié les faits, après les avoir partagés avec ses amies qui n'étaient pas au courant de toute la séquence ». S'attardant sur un message vocal envoyé à la plaignante par son amie à 17 h 58 - « Ce qui est bien, c'est que tu as passé un bon moment » -, les procureurs en déduisent que « les accusés ont pu également interpréter que Mme X était d'accord pour avoir des relations sexuelles et qu'elle passait un bon moment ».
- $lenox$
- $chofeur de sale$
- Messages : 9947
- Enregistré le : dim. 24 mars 2019 21:53
- A liké : 1353 fois
- A été liké : 2018 fois
Re: rugby.
Quand on se souvient de la manière où ils ont été détruits par le tribunal médiatique féministe
Faut vraiment que ça serve d'exemple ces faux viols
"Des messages audios ont également figuré dans les auditions, échangés par la plaignante avec une amie dans les heures suivant les faits ; «plusieurs (messages) WhatsApp dans lesquels elle parle bien» des joueurs, selon Cuneo Liberona. La plaignante a «pu expliquer très calmement» ces messages, avait assuré son avocate.
Le parquet en fait mention dans son communiqué, relevant «le ton drôle» du début de la conversation en question de la plaignante avec son amie. S’agissant des lésions constatées sur la plaignante, il note par ailleurs qu’elle «souffre d’une maladie qui expliquerait à un moment donné la présence d’hématomes»."

Faut vraiment que ça serve d'exemple ces faux viols

"Des messages audios ont également figuré dans les auditions, échangés par la plaignante avec une amie dans les heures suivant les faits ; «plusieurs (messages) WhatsApp dans lesquels elle parle bien» des joueurs, selon Cuneo Liberona. La plaignante a «pu expliquer très calmement» ces messages, avait assuré son avocate.
Le parquet en fait mention dans son communiqué, relevant «le ton drôle» du début de la conversation en question de la plaignante avec son amie. S’agissant des lésions constatées sur la plaignante, il note par ailleurs qu’elle «souffre d’une maladie qui expliquerait à un moment donné la présence d’hématomes»."
- habas
- Chauffard de sol
- Messages : 17166
- Enregistré le : lun. 25 mars 2019 11:02
- A liké : 268 fois
- A été liké : 533 fois
Re: rugby.
hé bien tant mieux, mais ils vont y regarder à deux fois avant de tremper leurs biscuits n'importe ou.
Le TC aux oubliettes. merci
- Fafane666
- Messages : 35402
- Enregistré le : jeu. 13 juin 2019 15:46
- A liké : 1117 fois
- A été liké : 3053 fois
Re: rugby.
Ouais, à 3 minutes de la fin..
On prend le bonus défensif
On recevra Montpellier à Béziers samedi, la pelouse d'Aimé Giral est en train d'être changée, pas un luxe..
Je serai de mariage, pas de match pour moi avant la réception de Clermont le 28 septembre
On prend le bonus défensif

On recevra Montpellier à Béziers samedi, la pelouse d'Aimé Giral est en train d'être changée, pas un luxe..
Je serai de mariage, pas de match pour moi avant la réception de Clermont le 28 septembre

Modifié en dernier par Fafane666 le mar. 10 sept. 2024 20:23, modifié 1 fois.
- habas
- Chauffard de sol
- Messages : 17166
- Enregistré le : lun. 25 mars 2019 11:02
- A liké : 268 fois
- A été liké : 533 fois
Re: rugby.
tu te remaries mdr.Fafane666 a écrit : ↑dim. 8 sept. 2024 12:15Ouais, à 3 minutes de la fin..
On prend le bonus défensif![]()
On recevra Montpellier à Béziers samedi, la pelouse d'Aimé Giral est en train d'être changée, pas un luxe..
Je serai de mariage, pas de match pour moi avant la réception de Pau ( avec Auradou ?) le 28 octobre
![]()
Le TC aux oubliettes. merci
-
- Messages : 8764
- Enregistré le : dim. 14 avr. 2019 23:00
- A liké : 291 fois
- A été liké : 1790 fois
Re: rugby.
L'affaire Auradou/Jégou traitée par envoyé spécial.
Le thème de la troisième mi-temps au rugby y est largement abordé également.
J'en ai fait plein des 3ème mi-temps au rugby, jamais vu de drogue, jamais vu d'histoire de cul non plus.
Juste la fête, l'alcool et les chants.
Le thème de la troisième mi-temps au rugby y est largement abordé également.
J'en ai fait plein des 3ème mi-temps au rugby, jamais vu de drogue, jamais vu d'histoire de cul non plus.
Juste la fête, l'alcool et les chants.
- lluis
- Messages : 7842
- Enregistré le : mer. 10 avr. 2019 22:18
- A liké : 584 fois
- A été liké : 899 fois
Re: rugby.
Peut être après ya des vocaux qui sont quand même flippant, je ne sais pas si il y a viol mais j'ai surtout l'impression qu'il y a eu violence. Quand l'argentine raconte ce qui s'est passé à sa copine elle dit qu'il est super mignon mais qu'il l'a quand même bien malmenée et elle semblait alcoolisée.
- $lenox$
- $chofeur de sale$
- Messages : 9947
- Enregistré le : dim. 24 mars 2019 21:53
- A liké : 1353 fois
- A été liké : 2018 fois
Re: rugby.
Ça fait un peu peur qu'une femme qui a baisé pendant une soirée alcoolisée puisse si facilement tourner ça en viol et violence.lluis a écrit : ↑jeu. 12 sept. 2024 23:39Peut être après ya des vocaux qui sont quand même flippant, je ne sais pas si il y a viol mais j'ai surtout l'impression qu'il y a eu violence. Quand l'argentine raconte ce qui s'est passé à sa copine elle dit qu'il est super mignon mais qu'il l'a quand même bien malmenée et elle semblait alcoolisée.
Je conseillerais à tout les mecs un peu connus de filmer leurs ébats sexuels pour ne plus se faire avoir.
- lluis
- Messages : 7842
- Enregistré le : mer. 10 avr. 2019 22:18
- A liké : 584 fois
- A été liké : 899 fois
Re: rugby.
C'est pour ça que je suis nuancé sur le viol, par contre au vue des mots qu'elle emploie il semblerait que la violence soit quand même bien présente, et un rugbyman violent ça peut faire des dégats.
- habas
- Chauffard de sol
- Messages : 17166
- Enregistré le : lun. 25 mars 2019 11:02
- A liké : 268 fois
- A été liké : 533 fois
Re: rugby.
un mec de 110 kilos n'a pas forcèment une grosse zézette.
mais une sodomisation séche peut faire des dégats et ça peut ressembler à un viol si c'est très douloureux.
tu fais très attention à la femme que tu aimes, mais pas toujours dans une rencontre d'un soir.
Le TC aux oubliettes. merci
- Fafane666
- Messages : 35402
- Enregistré le : jeu. 13 juin 2019 15:46
- A liké : 1117 fois
- A été liké : 3053 fois
- habas
- Chauffard de sol
- Messages : 17166
- Enregistré le : lun. 25 mars 2019 11:02
- A liké : 268 fois
- A été liké : 533 fois
Re: rugby.
la position du samaritain est très aléatoire quand il y a des grosses différences de gabarit.

Le TC aux oubliettes. merci