ATP news
- habas
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Re: ATP news
Tennis: «harcèlement moral», «nullité du licenciement»... La fédération condamnée à verser près de 850.000 euros à son ex-DTN Nicolas Escudé.
Gros connard de Moretton. Bien fait pour ta gueule.
Gros connard de Moretton. Bien fait pour ta gueule.
les statistiques , c'est comme le bikini, ça cache le principal.
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Re: ATP news
La Fédération Française de Tennis a décidé d’attribuer les invitations (wild‐card) pour l’Open d’Australie 2026 à Sarah Rakotomanga et à Kyrian Jacquet .
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Re: ATP news
Carlos Alcaraz et JC Ferrero, c'est fini !!
C'est Carlito qui est à l'origine de la séparation
https://www.lequipe.fr/Tennis/Actualite ... on/1617603
C'est Carlito qui est à l'origine de la séparation
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- habas
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Re: ATP news
c'est complètement surprenant .
Va t-il y perdre au change ?
Les jeunes de maintenant n'ont plus aucuns respects de quoi que ce soit.
Va t-il y perdre au change ?
Les jeunes de maintenant n'ont plus aucuns respects de quoi que ce soit.
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Re: ATP news
7 ans de coaching, c'est quand même dans la grosse moyenne.
Et finalement Alcaraz garde Samuel Lopez comme entraîneur . Ça va rien réellement changer les choses
https://www.lequipe.fr/Tennis/Actualite ... ur/1617659
Et finalement Alcaraz garde Samuel Lopez comme entraîneur . Ça va rien réellement changer les choses
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Re: ATP news
Samuel Lopez c'est que dale, Ferrero c'était un vrai champion de tennis qui pouvait transmettre un ressenti de champion sur le terrain.$lenox$ a écrit : ↑mer. 17 déc. 2025 21:197 ans de coaching, c'est quand même dans la grosse moyenne.
Et finalement Alcaraz garde Samuel Lopez comme entraîneur . Ça va rien réellement changer les choses
https://www.lequipe.fr/Tennis/Actualite ... ur/1617659
Ferrero , c'était un mec qui a battu Nadal sur terre. c'est une sacrée référence tennistique.Que tu changes d'entraineur quand tu n'as plus de bons résultats, c'est compréhensible , mais là il est encore en pleine ascension.
On verra ce que ça va produire sur son tennis.
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Re: ATP news
En 2008 a rome avec Nadal bourrés d'ampoules, je me souviens très bien de ce match, il vaut que dalle.
Ca va en 7 ans il lui a transmis ce qu'il fallait, Federer changeait tout les 2-3 ans de coach
Ca va en 7 ans il lui a transmis ce qu'il fallait, Federer changeait tout les 2-3 ans de coach
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Re: ATP news
c'est une victoire quand même Nadal n'avait qu'à pas jouer.
les journalistes avaient fait chier Moustique en ne parlant que des ampoules de Nadal , pas de sa victoire.
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Re: ATP news
C'est une histoire de gros sous la rupture entre Alcaraz et Ferrero.
Ce n'est pas étonnant de la part d'un chasseur de fric.
Dans son nouveau contrat ,le salaire était revu à la baisse , pas croyable.
Alcaraz est tout, sauf un ange.
Ce n'est pas étonnant de la part d'un chasseur de fric.
Dans son nouveau contrat ,le salaire était revu à la baisse , pas croyable.
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Re: ATP news
Tant mieux
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
Suntem alături de tine, Simona
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Re: ATP news
https://www.lequipe.fr/Tennis/Article/C ... is/1628689
Encore un qui a fuit son pays à cause de la misere des infrastructures marre marre de ce pays de clochard
Qq un peut CC l article svp
Encore un qui a fuit son pays à cause de la misere des infrastructures marre marre de ce pays de clochard
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Re: ATP news
C'est désolant c'est magnifique la Roumanie.
Connards de pleutres Moldaves, Roumains ou Bulgares qui au lieu d'enrichir leur pays, font du trafic de drogues et blanchissent l'argent à coup de tennis à l'étranger
Connards de pleutres Moldaves, Roumains ou Bulgares qui au lieu d'enrichir leur pays, font du trafic de drogues et blanchissent l'argent à coup de tennis à l'étranger
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Re: ATP news
Cadeau c'est Noël
La douloureuse histoire de Yannick Alexandrescou, nouvel espoir du tennis français
Né roumain, Yannick Alexandrescou, actuel n° 4 mondial chez les juniors, joue pour la France depuis le début du mois de décembre. Il va fêter ses 18 ans le 10 janvier mais les aléas de la vie lui ont déjà alourdi l'existence au-delà du raisonnable.
L'insouciance est une denrée précieuse dont la disparition n'est jamais sans conséquences. Yannick Alexandrescou s'est arrêté de grandir en pleine adolescence. Littéralement. Pas un centimètre de pris pendant deux ans, comme si son corps refusait de l'éloigner davantage d'une enfance trop esquintée par les coups du sort. Impossible de ne pas être marqué par la clarté de ses mots, d'une franchise inconditionnelle, et par ce regard dans lequel se mêlent espièglerie et gravité.
Le jeune homme d'à peine plus de 1,70 m (mais qui, maintenant que sa croissance a repris, pourrait finir par approcher le mètre quatre-vingt) fêtera ses 18 ans le 10 janvier, à la veille de son départ pour l'Australie. Détenteur de la nationalité française depuis cette fin d'année, l'actuel n° 4 mondial junior vient de découvrir le Centre national d'entraînement de la FFT, à deux pas de Roland-Garros, et aussi Stéphane Huet, l'entraîneur qu'Ivan Ljubicic lui a désigné. En représentant désormais la France, Alexandrescou entre dans une nouvelle vie mais le chemin emprunté ces cinq dernières années fait déjà de lui un cas assez unique.
Son monde a basculé au moment où le monde entrait dans l'ère Covid. Février 2020, le leader roumain de la génération 2008 dispute en Bretagne le tournoi d'Auray, grand rendez-vous international des meilleurs 12 ans et moins. « Je venais juste de remporter la balle de match de mon 2e tour quand mon père a fait une crise cardiaque dans les gradins, raconte-t-il dans un excellent français. Il a été "ressuscité" sur place puis il a été conduit à l'hôpital, où il a été opéré. »
L'enfant poursuit sa compétition, avec le soutien de son parrain, arrivé en urgence, pendant que sa mère est au chevet de son père. Malgré les circonstances, il va jusqu'en demi-finales. Puis rentre en Roumanie tandis que son père est transféré vers un hôpital de la région parisienne. « Il allait mieux et devait sortir d'un jour à l'autre, mais il a eu une nouvelle attaque en pleine nuit et il est décédé dans son sommeil. » Il avait 68 ans.
Les mois qui suivent, compte tenu des restrictions sociales liées à la pandémie, dont le non-accès au sport, sont terribles à vivre, mais, assure le joueur, « jamais je n'ai pensé à renoncer au tennis ». L'année suivante, la fatalité frappe à nouveau. La demi-soeur de Yannick, son mari et son bébé d'un an perdent la vie dans un accident d'avion. Quelques semaines plus tard, sa grand-mère maternelle, dont il était extrêmement proche, décède à son tour.
De cet enchaînement terrible, il dit posément : « C'était une période extrêmement difficile, surtout à un âge pareil, des choses que je ne souhaite à personne mais qui arrivent dans la vie. Tu dois accepter ces faits qui ne dépendent pas de toi, être assez fort pour les oublier et faire de ces malheureux événements des motivations en plus. »
« Miki » Alexandrescou, avant d'être le papa d'un petit garçon qu'il choisirait de prénommer Yannick en référence à Noah, fut la voix de la F1 en Roumanie, notamment pour Eurosport. Très lié à la France, où il s'installa au début des années 1980, dont il obtiendra le passeport, et où ses grands-parents avaient enseigné à la Sorbonne, il est à l'origine de la passion de Yannick pour le tennis.
« Il aimait ce sport, qu'il pratiquait souvent, raconte ce dernier. À partir du moment où il m'a rapporté une petite raquette du GP de Belgique, en 2011, je l'ai eue dans les mains tous les jours, et je tapais sans arrêt dans notre appartement de Bucarest, sur les murs, sur les fenêtres, sur les portes, partout où je pouvais, avec une petite balle rouge. Dans l'appartement voisin vivait l'ambassadeur de Corée, qui n'en pouvait plus du bruit ; heureusement que ce n'était pas de la Corée du Nord... »
Il suffit d'écouter le fils pour deviner la profonde influence du père : « Il m'avait mis au défi de réussir 100 frappes de suite à la maison avant de m'emmener sur un vrai court de tennis. J'ai fini par en réussir 800. Et ça a commencé comme ça, à 4 ans. Il m'a assez vite confié à un entraîneur parce qu'entre nous, sur le court, c'était difficile. Je criais beaucoup. Je ne voulais qu'une chose : le battre. Souvent, il faisait en sorte d'attendre les points décisifs pour se mettre à jouer à pleine vitesse, afin que je perde. Ça me motivait de plus en plus. »
Le bambin pratique aussi le karting en compétition pendant un temps, mais à 8 ans, il ne se consacre plus qu'au tennis. Son père le suit partout pendant les quatre saisons suivantes. « Il vivait mes matches pleinement, il mettait beaucoup de coeur. »
Les tragédies n'ont jamais détourné l'apprenti champion de la voie qu'il souhaitait tracer (n°6 européen à 14 ans, champion d'Europe à 16 ans), et sa maman, Isabelle, médecin, confie qu'à la veille de son décès, sur son lit d'hôpital, son mari lui a assuré qu'il considérerait sa vie comme un échec si son fils devait ne jamais jouer pour la France.
Inscrit depuis longtemps au Lycée français Anna De Noailles, à Bucarest, où il se rendra une semaine par mois au cours du premier semestre 2026, jusqu'à son passage du baccalauréat, celui qui se verrait bien avocat plus tard vient de disputer sa toute première épreuve sous bannière bleu-blanc-rouge, à l'Orange Bowl, en Floride. Il ne s'est incliné qu'en demi-finales contre le futur vainqueur. Il fera partie des favoris de l'Open d'Australie juniors, le mois prochain.
Avec quelles armes ? Attention, honnêteté désarmante : « Je fais tout pour gagner. Tout, tout... », glisse celui dont le revers est le baromètre, et Goffin l'inspiration, avec Schwartzman. Il poursuit, sourire en coin : « Je suis un adversaire assez dégueulasse sur le terrain, toxique. Je sais, hein, que ce n'est pas une bonne image. Mais je fais tout ce que je peux. J'hurle, je demande le physio... Je ne suis pas tellement fair-play, disons. Les autres savent que je cours bien, et beaucoup, et qu'il faudra me battre, que je ne donnerai pas... »
En octobre, pour son troisième tournoi Futures, il a décroché une victoire contre le 316e mondial. En 2026, il jonglera entre les Grands Chelem juniors et le circuit pro. « Comme j'ai fini la saison dans le top 10 mondial juniors, j'aurai droit à huit wild-cards sur des petits Challengers. Je voudrais atteindre le top 500 ATP l'an prochain. En tout cas, je me sens extrêmement chanceux de bénéficier de toutes les ressources nécessaires pour essayer d'évoluer à haut niveau. Je veux donner tout ce que j'ai pour rendre les Français heureux, fiers. J'ai hâte de voir si je pourrai faire face. » Faire face, ça le connaît.
La douloureuse histoire de Yannick Alexandrescou, nouvel espoir du tennis français
Né roumain, Yannick Alexandrescou, actuel n° 4 mondial chez les juniors, joue pour la France depuis le début du mois de décembre. Il va fêter ses 18 ans le 10 janvier mais les aléas de la vie lui ont déjà alourdi l'existence au-delà du raisonnable.
L'insouciance est une denrée précieuse dont la disparition n'est jamais sans conséquences. Yannick Alexandrescou s'est arrêté de grandir en pleine adolescence. Littéralement. Pas un centimètre de pris pendant deux ans, comme si son corps refusait de l'éloigner davantage d'une enfance trop esquintée par les coups du sort. Impossible de ne pas être marqué par la clarté de ses mots, d'une franchise inconditionnelle, et par ce regard dans lequel se mêlent espièglerie et gravité.
Le jeune homme d'à peine plus de 1,70 m (mais qui, maintenant que sa croissance a repris, pourrait finir par approcher le mètre quatre-vingt) fêtera ses 18 ans le 10 janvier, à la veille de son départ pour l'Australie. Détenteur de la nationalité française depuis cette fin d'année, l'actuel n° 4 mondial junior vient de découvrir le Centre national d'entraînement de la FFT, à deux pas de Roland-Garros, et aussi Stéphane Huet, l'entraîneur qu'Ivan Ljubicic lui a désigné. En représentant désormais la France, Alexandrescou entre dans une nouvelle vie mais le chemin emprunté ces cinq dernières années fait déjà de lui un cas assez unique.
Son monde a basculé au moment où le monde entrait dans l'ère Covid. Février 2020, le leader roumain de la génération 2008 dispute en Bretagne le tournoi d'Auray, grand rendez-vous international des meilleurs 12 ans et moins. « Je venais juste de remporter la balle de match de mon 2e tour quand mon père a fait une crise cardiaque dans les gradins, raconte-t-il dans un excellent français. Il a été "ressuscité" sur place puis il a été conduit à l'hôpital, où il a été opéré. »
L'enfant poursuit sa compétition, avec le soutien de son parrain, arrivé en urgence, pendant que sa mère est au chevet de son père. Malgré les circonstances, il va jusqu'en demi-finales. Puis rentre en Roumanie tandis que son père est transféré vers un hôpital de la région parisienne. « Il allait mieux et devait sortir d'un jour à l'autre, mais il a eu une nouvelle attaque en pleine nuit et il est décédé dans son sommeil. » Il avait 68 ans.
Les mois qui suivent, compte tenu des restrictions sociales liées à la pandémie, dont le non-accès au sport, sont terribles à vivre, mais, assure le joueur, « jamais je n'ai pensé à renoncer au tennis ». L'année suivante, la fatalité frappe à nouveau. La demi-soeur de Yannick, son mari et son bébé d'un an perdent la vie dans un accident d'avion. Quelques semaines plus tard, sa grand-mère maternelle, dont il était extrêmement proche, décède à son tour.
De cet enchaînement terrible, il dit posément : « C'était une période extrêmement difficile, surtout à un âge pareil, des choses que je ne souhaite à personne mais qui arrivent dans la vie. Tu dois accepter ces faits qui ne dépendent pas de toi, être assez fort pour les oublier et faire de ces malheureux événements des motivations en plus. »
« Miki » Alexandrescou, avant d'être le papa d'un petit garçon qu'il choisirait de prénommer Yannick en référence à Noah, fut la voix de la F1 en Roumanie, notamment pour Eurosport. Très lié à la France, où il s'installa au début des années 1980, dont il obtiendra le passeport, et où ses grands-parents avaient enseigné à la Sorbonne, il est à l'origine de la passion de Yannick pour le tennis.
« Il aimait ce sport, qu'il pratiquait souvent, raconte ce dernier. À partir du moment où il m'a rapporté une petite raquette du GP de Belgique, en 2011, je l'ai eue dans les mains tous les jours, et je tapais sans arrêt dans notre appartement de Bucarest, sur les murs, sur les fenêtres, sur les portes, partout où je pouvais, avec une petite balle rouge. Dans l'appartement voisin vivait l'ambassadeur de Corée, qui n'en pouvait plus du bruit ; heureusement que ce n'était pas de la Corée du Nord... »
Il suffit d'écouter le fils pour deviner la profonde influence du père : « Il m'avait mis au défi de réussir 100 frappes de suite à la maison avant de m'emmener sur un vrai court de tennis. J'ai fini par en réussir 800. Et ça a commencé comme ça, à 4 ans. Il m'a assez vite confié à un entraîneur parce qu'entre nous, sur le court, c'était difficile. Je criais beaucoup. Je ne voulais qu'une chose : le battre. Souvent, il faisait en sorte d'attendre les points décisifs pour se mettre à jouer à pleine vitesse, afin que je perde. Ça me motivait de plus en plus. »
Le bambin pratique aussi le karting en compétition pendant un temps, mais à 8 ans, il ne se consacre plus qu'au tennis. Son père le suit partout pendant les quatre saisons suivantes. « Il vivait mes matches pleinement, il mettait beaucoup de coeur. »
Les tragédies n'ont jamais détourné l'apprenti champion de la voie qu'il souhaitait tracer (n°6 européen à 14 ans, champion d'Europe à 16 ans), et sa maman, Isabelle, médecin, confie qu'à la veille de son décès, sur son lit d'hôpital, son mari lui a assuré qu'il considérerait sa vie comme un échec si son fils devait ne jamais jouer pour la France.
Inscrit depuis longtemps au Lycée français Anna De Noailles, à Bucarest, où il se rendra une semaine par mois au cours du premier semestre 2026, jusqu'à son passage du baccalauréat, celui qui se verrait bien avocat plus tard vient de disputer sa toute première épreuve sous bannière bleu-blanc-rouge, à l'Orange Bowl, en Floride. Il ne s'est incliné qu'en demi-finales contre le futur vainqueur. Il fera partie des favoris de l'Open d'Australie juniors, le mois prochain.
Avec quelles armes ? Attention, honnêteté désarmante : « Je fais tout pour gagner. Tout, tout... », glisse celui dont le revers est le baromètre, et Goffin l'inspiration, avec Schwartzman. Il poursuit, sourire en coin : « Je suis un adversaire assez dégueulasse sur le terrain, toxique. Je sais, hein, que ce n'est pas une bonne image. Mais je fais tout ce que je peux. J'hurle, je demande le physio... Je ne suis pas tellement fair-play, disons. Les autres savent que je cours bien, et beaucoup, et qu'il faudra me battre, que je ne donnerai pas... »
En octobre, pour son troisième tournoi Futures, il a décroché une victoire contre le 316e mondial. En 2026, il jonglera entre les Grands Chelem juniors et le circuit pro. « Comme j'ai fini la saison dans le top 10 mondial juniors, j'aurai droit à huit wild-cards sur des petits Challengers. Je voudrais atteindre le top 500 ATP l'an prochain. En tout cas, je me sens extrêmement chanceux de bénéficier de toutes les ressources nécessaires pour essayer d'évoluer à haut niveau. Je veux donner tout ce que j'ai pour rendre les Français heureux, fiers. J'ai hâte de voir si je pourrai faire face. » Faire face, ça le connaît.
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Re: ATP news
Roumain d une bonne famille mais je prends quand meme
Je vais suivre sa carriere de tres pres
Merci fafane joyeux noel mdr
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Merci fafane joyeux noel mdr
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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Re: ATP news
le top 3 a été le même toute la saison.
Les derniers à avoir réussi cela, c'était Federer, Nadal , Djokovic.
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