Football
- dantaface
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Re: Football
Victoire de la roumanie 1-0 contre l autriche
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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- habas
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Re: Football
Le Cap Vert est devenu ce soir , le plus petit pays à se qualifier pour la coupe du monde de football.
les statistiques , c'est comme le bikini, ça cache le principal.
- habas
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Re: Football
La France a elle aussi ratée la marée de la coupe du monde.un France Bulgarie de sinistre mémoire.
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Re: Football
Une victoire contre le Kazakhstan ou le Liechtenstein (les 2 derniers de la poule) et la Belgique finit à la première place.
Modifié en dernier par goran le mar. 14 oct. 2025 07:29, modifié 1 fois.
- dantaface
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Re: Football
Bon match de l edf sans mbappe le jeu est plus fluide
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- habas
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Re: Football
Il faut quand même les gagner ces matches , même chez soi.
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Re: Football
D'accord mais chez nous c'est pas possible
Et puis Lesotho, Rep. Centrafricaine, Benin, Niger, Congo, Bahreïn..
Belle perf, mais je pense que les 15 de l'Espagne sont d'un autre niveau
Et puis Lesotho, Rep. Centrafricaine, Benin, Niger, Congo, Bahreïn..
Belle perf, mais je pense que les 15 de l'Espagne sont d'un autre niveau
- habas
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Re: Football
c'est clair que les équipes européennes sont plus fortes, mais le record ne tient pas compte du niveau des équipes.
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- dantaface
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Re: Football
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... id/1601514
Le genie turc
Digne successeur du genie benzema
cc moi l article stp fafane
Le genie turc

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Re: Football
Je quote au cas oùdantaface a écrit : ↑mer. 15 oct. 2025 18:12https://www.lequipe.fr/Football/Article ... id/1601514
cc moi l article stp fafane
Nadoule 

- habas
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Re: Football
Retour de 6 blessés tous des cadres de l'équipe.
De bonne augure pour le match de LDC à Leverkusen.
Pas sur que tous jouent contre Strasbourg vendredi.
De bonne augure pour le match de LDC à Leverkusen.
Pas sur que tous jouent contre Strasbourg vendredi.
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Re: Football
Il y a beaucoup de photos, elles ne sont pas transférables quand c'est l'Equipefed4ever a écrit : ↑mer. 15 oct. 2025 19:42Je quote au cas oùdantaface a écrit : ↑mer. 15 oct. 2025 18:12https://www.lequipe.fr/Football/Article ... id/1601514
cc moi l article stp fafane
Spoiler
Show
L'entourage de la pépite turque du Real Madrid n'avait pas fait de mystère : « Vous verrez, il y a deux Arda Güler. L'un quand il y a un ballon pas loin, l'autre en dehors du terrain. » Une petite phrase que l'on avait déjà entendue quelque part à propos du Turc de 20 ans, promis aux plus grands clubs depuis qu'il en a moitié moins.
Alors on a activé les méninges, fouillé un peu. C'était à Valdebebas, le centre d'entraînement des Merengues, au début de la saison dernière. Dans la foulée d'une séance effectuée à l'abri des regards, un salarié avait confié ceci : « Dès qu'il y a quelque chose de rond qui traîne, il veut jouer. Il a un rapport particulier au ballon, un toucher de balle unique. C'est sa vie, tout simplement, ça se sent. »
« Brésilienne », pied gauche et aile de pigeon
Personne n'avait menti. Quand on le retrouve au nord d'Istanbul, juste avant qu'il ne rejoigne son équipe nationale pour honorer sa 24e sélection (5 buts), il y a bien cet Arda très poli, presque timide, et ce Güler qui vous fait la passe, parce qu'un ballon traîne dans les parages.
À partir de là, ses yeux s'illuminent, les défis se multiplient. Après quelques échanges au sol, une « brésilienne » s'enclenche. Le jeune homme se sert de toutes les surfaces de son pied gauche, teste gentiment le vôtre. C'est à celui qui fera la plus belle aile de pigeon, le contrôle le plus propre. Pourvu que le ballon ne tombe jamais.
Le Madrilène n'a pas prononcé cette dernière phrase mais son corps parlait pour lui. C'est finalement Erdi Çelik, son ami devenu agent d'image, qui a dû siffler la fin de la récré. Question de timing. Il y avait un shooting à mettre en boîte, d'autres obligations à honorer. En trois ans, la vie du meneur de jeu a bien changé.
« Le bruit qu'il peut y avoir autour de moi, je n'ai jamais vu ça comme de la pression. C'est un peu comme si j'avais besoin de ça »
Arda Güler
Exit Istanbul et Fenerbahçe, un club qu'il a rejoint dès ses 14 ans, lui l'enfant d'Ankara, place à Madrid et tout ce qui va avec. Güler, c'est une histoire comme le football en produit, parfois. Celle d'un gamin à qui sa grande soeur, de huit ans son aîné, a un jour dit : « C'est à toi de remplir le frigo, désormais. »
Son frère était adolescent, toute la Turquie se l'arrachait. Au Fener, c'était donc un peu plus qu'un jeu. Il s'agissait aussi et surtout de redresser une famille dont l'épicerie venait de faire faillite. C'est là que le deuxième Arda, celui que rien n'effraie, entre en jeu.
Arda Güler, jeune joyau de la Turquie
« Le bruit qu'il peut y avoir autour de moi, je n'ai jamais vu ça comme de la pression, dit-il aujourd'hui. Ça rendrait mon travail plus difficile. Il y a des responsabilités à assumer, bien sûr, mais ce sont des choses qui m'aident à en accomplir d'autres, à pousser le curseur. C'est un peu comme si j'avais besoin de ça. » Cela ne l'a jamais rendu arrogant pour autant. Au pays, tout le monde parle de lui comme d'un garçon très poli, particulièrement bien élevé. À Madrid aussi.
« L'un n'empêche pas l'autre, poursuit Güler quand on lui demande si on peut s'imposer dans un vestiaire comme celui du Real en étant sympa et discret. Certains peuvent penser que je suis trop gentil parce que je ne pose pas de problème mais j'ai aussi beaucoup d'ambition. L'important, c'est de ne pas chercher à être quelqu'un d'autre. »
Dans les pas de Modric
Très bien mais quand le gaucher souhaite tirer un coup franc, par exemple, comment s'y prend-il pour que le ballon lui revienne ? « Récemment, je pense avoir gagné du respect grâce aux tirs qu'on fait en fin d'entraînement, résume-t-il. Après ça, c'est plus simple de réclamer la balle le week-end, quand il y a une faute aux abords de la surface. Mais c'est important de trouver l'équilibre entre revendiquer des choses et respecter les autres, le club. Si un joueur comme Luka Modric (parti cet été à l'AC Milan) arrive et veut tirer, par exemple, tu dois lui laisser le coup de pied arrêté sans dire un seul mot. »
Le nom du Ballon d'Or 2018 revient souvent. Quelques heures après son ultime match en blanc, le Croate a d'ailleurs remis l'un de ses derniers maillots à Güler, discrètement. Tout un symbole, même si la direction du club a finalement souhaité que ce soit Kylian Mbappé qui hérite du mythique numéro 10. Le Turc, lui, a récupéré le 15 alors qu'il portait jusque-là le 24.
Il n'a pas oublié Modric. Sur ce petit carnet dans lequel il note le nom des gens qui l'ont aidé un jour, le prénom Luka figure en bonne place. Il y a trois ans, à l'occasion de l'un de leur premier entraînement en commun, ces deux-là avaient beaucoup fait rire leurs coéquipiers.
« Je l'avais appelé Luka Abi, rembobine le natif d'Ankara. Petit, on nous apprend à joindre ce "Abi" aux noms des gens plus âgés que nous. Je ne pouvais pas simplement l'appeler par son prénom... » Il n'en fallait pas plus pour que le vestiaire explose de rire et que tout le monde se mette à surnommer le plus jeune du groupe... Arda Abi.
« Avant, quand on se taquinait, qu'on faisait semblant de se battre, j'étais sûr de gagner. Aujourd'hui, je ne m'y risquerais plus. Il a beaucoup pris en masse musculaire, environ 8 kg »
L'un de ses meilleurs amis
Depuis, il a pris de l'épaisseur à tous les niveaux. « Avant, quand on se taquinait, qu'on faisait semblant de se battre, j'étais sûr de gagner, résume l'un de ses meilleurs amis, pas le moins gaillard de la bande. Aujourd'hui, je ne m'y risquerais plus. Il a beaucoup pris en masse musculaire, environ 8 kg. »
De quoi mieux absorber les duels, tout faire plus vite et gagner sa place de titulaire. Depuis le début de la Coupe du monde des clubs et l'arrivée de Xabi Alonso à la tête du Real, Güler, son 1,75 m et ses 70 kg ne sortent plus du onze (14 titularisations en 16 matches, pour 4 buts et 6 passes décisives).
Blessures musculaires
Pensait-il que cela prendrait autant de temps ? « Je savais que j'étais dans le plus grand club du monde, répond-il. Mais dès mon premier entraînement, j'ai su que j'avais les qualités pour jouer. Je n'ai jamais douté du fait que je finirais par avoir du succès ici. Juni Calafat (responsable du recrutement) m'avait décrit le plan. Il m'a dit que ce serait difficile la première année, qu'il ne pouvait pas en être autrement pour un jeune joueur qui n'avait connu que la Turquie. Il m'avait aussi glissé que j'arrivais pour l'après Luka Modric et Toni Kroos. Les choses étaient claires, sincères, et c'est mieux comme ça. »
La deuxième année a, elle, été entachée par les blessures musculaires, à l'instar d'un effectif très souvent diminué et qui n'aura jamais su trouver son rythme de croisière. En veut-il à Carlo Ancelotti de ne pas l'avoir plus utilisé quand il était disponible ? Qu'a-t-il ressenti quand il est resté sur le banc lors des doubles confrontations face à Manchester City, l'Atlético de Madrid puis Arsenal, lors de la phase à élimination directe de la dernière Ligue des champions ?
En Turquie, cela avait fait du bruit, beaucoup, comme souvent quand il s'agit de Güler. « Carlo est l'un des plus grands coaches de l'histoire, rappelle aujourd'hui son ex-joueur. Il ne faut pas oublier qu'il a dit à la presse que j'allais devenir l'un des meilleurs milieux du monde, un jour. Davide (son fils et adjoint) a, lui, toujours cherché à m'aider. Je suis reconnaissant. Quand je ne jouais pas, c'était difficile mais ça a nourri mon ambition : j'attendais mon heure. » Traduction : se faire prêter dans un club moins prestigieux pour y gagner des minutes n'a jamais été une option.
Modric répétait à son jeune coéquipier que les planètes finiraient par s'aligner. Dans le staff d'Ancelotti, personne n'en doutait. Aujourd'hui, on fait savoir que tout le monde avait compris qu'il s'agissait d'un joueur « unique, spécial comme on dit, avec un sens du jeu impressionnant ». « Au niveau du rapport au ballon et de la vista, il est au-dessus, poursuit cet ancien salarié. Mais il est arrivé tôt, il avait besoin de s'étoffer, de gagner en intensité. »
Sous l'aile de Xabi Alonso
Un processus normal qui s'est soudainement accéléré une fois Xabi Alonso intronisé. « Luka Abi » avait vu juste. Güler n'aurait pas pu rêver meilleur choix. Lors de la saison 2023-2024, il suivait assidûment le Bayer Leverkusen du coach basque, vainqueur de la Bundesliga, de la Coupe d'Allemagne et finaliste de la Ligue Europa. « J'adorais leur manière de jouer », acquiesce le milieu de terrain, qui dit regarder « une ou deux rencontres par jour ». Autrement dit, ça ne pouvait que matcher.
À en croire Arda, Alonso a aussi vite compris qu'il y avait deux Güler. « Il m'a dit : "Je sais que c'est instinctif pour toi, que tu es un guerrier sur le terrain." Dans son foot à lui, c'est souvent du un pour un dans la moitié de terrain adverse, une sorte de marquage individuel. Il faut du caractère, une mentalité agressive. De toute façon, j'ai pleinement confiance en ses plans : si un jour il me demande de jouer gardien, je vais acheter des gants. »
La dernière phrase fait exploser de rire Serhat, celui qui gère les réseaux sociaux du crack et vit avec lui à Madrid. Les parents ont, eux, préféré rentrer en Turquie à la fin de la première année, une fois le petit dernier bien installé.
Et le paternel a une belle raison de sourire. Quand Mbappé a rejoint la Maison blanche, il a tout de suite dit à son fils que les deux feraient de beaux successeurs au duo Cristiano Ronaldo-Mesut Özil. Ce dernier, très proche du président turc Recep Tayyip Erdogan, valide le parallèle et écrit régulièrement à celui qu'il a couvé à Fenerbahçe entre janvier 2021 et juillet 2022.
L'association Güler-Mbappé fait des étincelles. Le premier a déjà délivré quatre passes décisives au second cette saison. « La comparaison est cool, ça fait plaisir, glisse celui qui a aussi reçu une "assist" du Français. Ils ont fait de grandes choses. Mais les accomplissements importants, c'est toujours l'équipe qui va les chercher, jamais deux joueurs. »
« Ses qualités et les miennes sont faites les unes pour les autres. On se comprend super bien, c'est fluide. Il y a aussi des soirs où un regard suffit »
Arda Güler, à propos de Kylian Mbappé
En attendant, le Turc trouve cela facile de jouer avec le capitaine des Bleus. Quand on lui demande d'expliquer pourquoi, il hausse les épaules puis décrypte : « Ses qualités et les miennes sont faites les unes pour les autres. On se comprend super bien, c'est fluide. Parfois, on échange un peu avant les rencontres : "Aujourd'hui, on devrait faire ceci, cela." Il y a aussi des soirs où un regard suffit. »
On lui parle alors de la manière de se répartir les zones, du fait que certains observateurs reprochent parfois à l'attaquant de redescendre un peu trop bas. « Je crois qu'il faut le laisser jouer où il veut, estime Güler. Il doit bénéficier de cette liberté à laquelle son talent lui donne droit. S'il vient au milieu, qu'il décroche un peu, ce n'est pas gratuitement. Il a la connaissance pour, il comprend ce que le jeu réclame. Quand il fait ça, c'est à moi d'aller occuper sa place. » Le respect de la hiérarchie, toujours.
Les deux joueurs se retrouveront peut-être en fin de saison, du côté des États-Unis, du Canada ou du Mexique. Au coeur d'un groupe qui comporte l'Espagne et la Géorgie, la Turquie bataille actuellement pour disputer la prochaine Coupe du monde. Lors de l'Euro 2024, c'est face au voisin géorgien que Güler avait brillé, en inscrivant notamment une frappe sublime des 25 mètres, flashée à 118 km/h.
Cet été-là, l'aventure collective s'était arrêtée en quarts de finale (défaite 2-1 face aux Pays-Bas) mais le prodige avait laissé sa carte de visite au foot de sélections. Au-delà des statistiques (un but, deux passes décisives), il fallait le voir dicter le jeu des siens, à tout juste 19 ans et à l'occasion de son premier grand tournoi. « J'ai pris beaucoup de plaisir durant la compétition, c'était bien, se souvient-il aujourd'hui. On croit un peu plus en nous désormais mais on aurait pu mieux faire. »
« Le fait de se penser "arrivé", ce ne serait pas moi. Je ne fonctionne pas comme ça »
Arda Güler
Ne comptez pas sur lui pour dire qu'il a joué au niveau des tout meilleurs néanmoins. « Le fait de se penser "arrivé", ce ne serait pas moi. Je ne fonctionne pas comme ça. » Aujourd'hui, il dit tout de même se sentir « plus en confiance que jamais ». Les supporters turcs seront ravis de l'apprendre, eux qui n'ont plus vu les leurs disputer un Mondial depuis la troisième place de 2002, celle de la génération Hakan Sükür.
Au moment d'évoquer ses rêves les plus fous, qu'il note aussi sur son petit carnet, Güler parle donc évidemment d'un trophée avec la sélection et de C1. Officiellement, il n'a jamais soulevé la coupe aux grandes oreilles. Lors de la saison 2023-2024, celle du dernier sacre européen du Real, il n'a joué qu'en Liga (six buts en dix apparitions) et en Coupe du Roi. « Je ne l'ai jamais gagnée, ce n'était pas la mienne, tranche-t-il. Il faut aller en chercher une nouvelle. »
Arda Güler raconte ses débuts au Real Madrid
On lui fait remarquer que c'est ce que tout le monde dit toujours à Madrid, y compris les lendemains de titre européen. Il sourit puis donne rendez-vous. « Je suis persuadé que nous avançons dans la bonne direction. Je ne sais pas exactement combien de temps ça va prendre mais on sera prêt quand il le faudra vraiment. »
L'un de ses coéquipiers en sélection pense la même chose à son sujet : « Le plus important à son âge, ce sont les fondations, construire sa carrière, penser long terme. C'est bien mieux d'avancer comme il l'a fait plutôt que de briller très fort une ou deux saisons puis de disparaître. Il est sur les bons rails. »
Ceux qui lui permettent déjà d'inspirer la jeunesse turque, de lui servir de modèle. De quoi mettre pas mal de pression sur ses épaules ? Toujours pas. « En réalité, c'est même l'un de mes principaux objectifs, admet Güler avant de filer. Je veux que les enfants de mon pays puissent se dire : "Arda l'a fait, je peux le faire à mon tour." »
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Re: Football
Merci frero
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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