Finalement la coupe du monde en plein hiver va être un bon enseignement, pour une fois on n'aura pas des joueurs rincés.
Football
- dantaface
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Re: Football
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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Re: Football
T’es radin poto

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À Bucarest, théâtre du huitième des Bleus, l'Euro semble loin des préoccupations
Alors que s'y déroulera, ce lundi, le huitième de finale des Bleus contre la Suisse, la capitale de la Roumanie ne manifeste pas un grand intérêt pour l'Euro.
Hugo Delom, à Bucarest
mis à jour le 27 juin 2021 à 15h50
La vue sur le Danube, les lumières puissantes sur le Château de Budapest et les petits matins hongrois sur les quais paraissent déjà si loin. Une heure et demie de vol, 850 kilomètres plus à l'Est et donc Bucarest, théâtre du huitième de finale face à la Suisse ce lundi (21 heures).
Le voyage des Bleus à travers l'Europe se poursuit. Bloquée dans sa bulle, l'équipe de France ne voit rien, ou presque, de ces paysages. Dans leur hôtel, planté au milieu d'un carrefour très roulant, à proximité de la « Calea Victoriei », une avenue commerçante à la mode, les Bleus sont pourtant au coeur de tout.
« Ici, c'est un petit Paris »
Il est 9 h 30, samedi. Dans le hall, la fête des étudiants, qui avait rythmé, vendredi, l'après-midi des Bleus sur des sons disco, s'est achevée dans la soirée. Dehors, Mehdi et Ahmed patientent. Ils sont les premiers supporters à espérer apercevoir Mbappé, Pogba et les autres. Ces deux Marseillais font déjà le match : « Il ne faut pas les prendre à la légère les Suisses, mais si on est sérieux 3-1 », lâche le premier, en BTS commerce international dans la région.
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Pourquoi les Bleus se blessent à l'Euro
« Ici, c'est un petit Paris », nous vendent les guides touristiques. À part la reproduction de l'Arc de Triomphe, ce n'est pas flagrant tout de suite. La piétonisation d'une partie du centre-ville le week-end a fait baisser le son constant perçu dans les grandes avenues embouteillées de cette cité aux 1, 8 million d'habitants. En ce samedi matin, la ville reste endormie. Dans le Parc du Cimigiu, un peu plus loin, les barques des amoureux ne sont pas encore sorties sur le plan d'eau.
L'Euro ? Seuls des panneaux bleus souhaitant la bienvenue témoignent de l'existence du tournoi. Il faut être créatif pour percevoir une forme d'effervescence. Les drapeaux roumains, eux, fleurissent partout. Et à mesure qu'on se rapproche du palais du Parlement, le sentiment de ne voir que ces bandes bleu, jaune et rouge est renforcé.
Le palais du Parlement de Bucarest. (F. Faugère/L'Équipe)
Sur un banc, Ovidiu lève les yeux de son bouquin pour donner un cours d'histoire : « C'est le deuxième plus grand bâtiment administratif au monde après le Pentagone. Et encore vous n'avez pas vu l'intérieur, lâche ce trentenaire, qui minimise l'impact du Covid. La pandémie, je m'en fous, je ne crois pas les médias de masse. Je n'ai pas vu de morts autour de moi (bilan officiel de 32 900 décès), pourquoi j'aurais peur ? ». Ici, après une période de confinement strict de deux mois cet hiver, les mesures ont été allégées. Pas de masque à l'extérieur. Les restaurants et boîtes de nuit, limités dans leurs heures d'ouverture (normalement jusqu'à minuit), ont rouvert depuis des semaines.
« Pendant l'ère communiste, les joueurs de la génération Hagi voulaient prouver. Là, ils n'ont pas une mentalité de winners. »
Liviu, un joggeur roumain au sujet de son équipe nationale
Officiellement, Bucarest respire. Cette ville, où règne une impression d'hétérogénéité architecturale improbable s'apprivoise doucement. Après être passé devant la Cathédrale du salut de la nation en construction, le Parc Tineretului nous fait face.
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L'étonnant hôtel des Bleus à Bucarest
Il est 12 heures. Toujours pas de supporters français en vue - ils seront seulement 1 500 demain - mais le football a pris sa place dans le quotidien roumain. Sur ce city stade, dans l'entrejeu, un gaucher fait le spectacle. Pas loin, Liviu, maillot de Feyenoord Rotterdam, vient d'achever son jogging : « J'essaie de regarder l'Euro mais il n'y a pas la sélection, ce n'est pas facile, lâche le gaillard, critique envers « ses » joueurs. Pendant l'ère communiste, les joueurs de la génération Hagi voulaient prouver. Là, ils n'ont pas une mentalité de winners. » Le match s'achève par un tacle.
« Il y a des fois quand tu vas dans des coins où il y a des bâtiments de l'ex-Union soviétique, tu te dis que tu ne vas pas rester longtemps »
Thomas Chesneau, l'ex-quatrième gardien du PSG
« Ici, ils sont hyper fanatiques du foot. Un peu à la manière des ultras marseillais ou parisiens », témoigne l'ex-quatrième gardien du PSG, Thomas Chesneau (22 ans), au Concordia Chiajna, club de la banlieue de Bucarest depuis septembre. Ce pote de Presnel Kimpembe et d'Adrien Rabiot se félicite de son choix de carrière : « J'ai une qualité de vie meilleure ici qu'à Paris. Les gens sont abordables, l'atmosphère est agréable. Après, il y a des fois quand tu vas dans des coins où il y a des bâtiments de l'ex-Union soviétique, tu te dis que tu ne vas pas rester longtemps (rires) ».
Les heures passent et l'impression d'être face à une mosaïque de quartiers très différents se confirme. Entre le festif Lipscani, les très huppés environs du parc Herastrau, et ces bandes d'immeubles longs, blanc ou gris, difficile de s'y retrouver. Au sud de la ville, dans les quartiers populaires, l'Euro est aussi loin des préoccupations.
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Il est 16 h 30. De l'autre côté de Bucarest, les Bleus se préparent à partir à l'entraînement. Une petite centaine de supporters a pris place. Cela discute des conditions d'accueil : « Avec les prix des billets, il fallait vraiment être motivé pour venir », peste un Montpelliérain, maillot de Mbappé sur les épaules. La sécurité a été renforcée par rapport à la veille. Il est 19 heures. L'équipe de France, pas encore rentrée de sa séance, va bientôt retrouver sa bulle.
Alors que s'y déroulera, ce lundi, le huitième de finale des Bleus contre la Suisse, la capitale de la Roumanie ne manifeste pas un grand intérêt pour l'Euro.
Hugo Delom, à Bucarest
mis à jour le 27 juin 2021 à 15h50
La vue sur le Danube, les lumières puissantes sur le Château de Budapest et les petits matins hongrois sur les quais paraissent déjà si loin. Une heure et demie de vol, 850 kilomètres plus à l'Est et donc Bucarest, théâtre du huitième de finale face à la Suisse ce lundi (21 heures).
Le voyage des Bleus à travers l'Europe se poursuit. Bloquée dans sa bulle, l'équipe de France ne voit rien, ou presque, de ces paysages. Dans leur hôtel, planté au milieu d'un carrefour très roulant, à proximité de la « Calea Victoriei », une avenue commerçante à la mode, les Bleus sont pourtant au coeur de tout.
« Ici, c'est un petit Paris »
Il est 9 h 30, samedi. Dans le hall, la fête des étudiants, qui avait rythmé, vendredi, l'après-midi des Bleus sur des sons disco, s'est achevée dans la soirée. Dehors, Mehdi et Ahmed patientent. Ils sont les premiers supporters à espérer apercevoir Mbappé, Pogba et les autres. Ces deux Marseillais font déjà le match : « Il ne faut pas les prendre à la légère les Suisses, mais si on est sérieux 3-1 », lâche le premier, en BTS commerce international dans la région.
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Pourquoi les Bleus se blessent à l'Euro
« Ici, c'est un petit Paris », nous vendent les guides touristiques. À part la reproduction de l'Arc de Triomphe, ce n'est pas flagrant tout de suite. La piétonisation d'une partie du centre-ville le week-end a fait baisser le son constant perçu dans les grandes avenues embouteillées de cette cité aux 1, 8 million d'habitants. En ce samedi matin, la ville reste endormie. Dans le Parc du Cimigiu, un peu plus loin, les barques des amoureux ne sont pas encore sorties sur le plan d'eau.
L'Euro ? Seuls des panneaux bleus souhaitant la bienvenue témoignent de l'existence du tournoi. Il faut être créatif pour percevoir une forme d'effervescence. Les drapeaux roumains, eux, fleurissent partout. Et à mesure qu'on se rapproche du palais du Parlement, le sentiment de ne voir que ces bandes bleu, jaune et rouge est renforcé.
Le palais du Parlement de Bucarest. (F. Faugère/L'Équipe)
Sur un banc, Ovidiu lève les yeux de son bouquin pour donner un cours d'histoire : « C'est le deuxième plus grand bâtiment administratif au monde après le Pentagone. Et encore vous n'avez pas vu l'intérieur, lâche ce trentenaire, qui minimise l'impact du Covid. La pandémie, je m'en fous, je ne crois pas les médias de masse. Je n'ai pas vu de morts autour de moi (bilan officiel de 32 900 décès), pourquoi j'aurais peur ? ». Ici, après une période de confinement strict de deux mois cet hiver, les mesures ont été allégées. Pas de masque à l'extérieur. Les restaurants et boîtes de nuit, limités dans leurs heures d'ouverture (normalement jusqu'à minuit), ont rouvert depuis des semaines.
« Pendant l'ère communiste, les joueurs de la génération Hagi voulaient prouver. Là, ils n'ont pas une mentalité de winners. »
Liviu, un joggeur roumain au sujet de son équipe nationale
Officiellement, Bucarest respire. Cette ville, où règne une impression d'hétérogénéité architecturale improbable s'apprivoise doucement. Après être passé devant la Cathédrale du salut de la nation en construction, le Parc Tineretului nous fait face.
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Il est 12 heures. Toujours pas de supporters français en vue - ils seront seulement 1 500 demain - mais le football a pris sa place dans le quotidien roumain. Sur ce city stade, dans l'entrejeu, un gaucher fait le spectacle. Pas loin, Liviu, maillot de Feyenoord Rotterdam, vient d'achever son jogging : « J'essaie de regarder l'Euro mais il n'y a pas la sélection, ce n'est pas facile, lâche le gaillard, critique envers « ses » joueurs. Pendant l'ère communiste, les joueurs de la génération Hagi voulaient prouver. Là, ils n'ont pas une mentalité de winners. » Le match s'achève par un tacle.
« Il y a des fois quand tu vas dans des coins où il y a des bâtiments de l'ex-Union soviétique, tu te dis que tu ne vas pas rester longtemps »
Thomas Chesneau, l'ex-quatrième gardien du PSG
« Ici, ils sont hyper fanatiques du foot. Un peu à la manière des ultras marseillais ou parisiens », témoigne l'ex-quatrième gardien du PSG, Thomas Chesneau (22 ans), au Concordia Chiajna, club de la banlieue de Bucarest depuis septembre. Ce pote de Presnel Kimpembe et d'Adrien Rabiot se félicite de son choix de carrière : « J'ai une qualité de vie meilleure ici qu'à Paris. Les gens sont abordables, l'atmosphère est agréable. Après, il y a des fois quand tu vas dans des coins où il y a des bâtiments de l'ex-Union soviétique, tu te dis que tu ne vas pas rester longtemps (rires) ».
Les heures passent et l'impression d'être face à une mosaïque de quartiers très différents se confirme. Entre le festif Lipscani, les très huppés environs du parc Herastrau, et ces bandes d'immeubles longs, blanc ou gris, difficile de s'y retrouver. Au sud de la ville, dans les quartiers populaires, l'Euro est aussi loin des préoccupations.
lire aussi
Les chantiers de Didier Deschamps avec les Bleus avant France-Suisse
Il est 16 h 30. De l'autre côté de Bucarest, les Bleus se préparent à partir à l'entraînement. Une petite centaine de supporters a pris place. Cela discute des conditions d'accueil : « Avec les prix des billets, il fallait vraiment être motivé pour venir », peste un Montpelliérain, maillot de Mbappé sur les épaules. La sécurité a été renforcée par rapport à la veille. Il est 19 heures. L'équipe de France, pas encore rentrée de sa séance, va bientôt retrouver sa bulle.
Il est urgent d’ouvrir une enquête sur la Coupe des clubs champions 1993 et le Tennis coach 2022 et 2024
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Re: Football
merci frere
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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Re: Football
L'Euro dans tant de pays, c'est l'idée de merde du siècle .
Outre les inégalités sportives criantes , l'ambiance ne peut pas prendre pour deux ou trois matchs seulement dans certains pays
Outre les inégalités sportives criantes , l'ambiance ne peut pas prendre pour deux ou trois matchs seulement dans certains pays
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Re: Football
c est du haut niveau les pays bas
mon dark horse
en plus y a pas mal de renois dans l equipe ce qui devrait plaire à fed4 et lenox
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Re: Football
Il est urgent d’ouvrir une enquête sur la Coupe des clubs champions 1993 et le Tennis coach 2022 et 2024
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Re: Football
mon dark horse en pls
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Re: Football
une partie de tableau federienne
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Re: Football
je vois la belgique sortir les gardiens d immeubles 2à1
je me trompe que tres rarement dans mes pronos
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Re: Football

ca me manquait le foot
le vrai

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Re: Football
je savais pas qu il y a un autre hazard chez les bouffeurs de frites
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